Scotland Yard, un endroit bien critiqué par certes mais respecté par d’autres. En général on les respecte cependant il existe un petit groupe qui s’en contrefiche bien et qui les trouve même bien minable enfin bon cela n’est pas le problème de Matthew qui concrètement n’aime pas se considéré comme étant dans la généralité. Il n’aime pas être jugé par rapport aux autres mais on dit bien que l’être humain est unique. Qu’il n’y a pas deux personnes identiques pas même les jumeaux alors si tout le monde est unique autant le considéré comme étant spécial. Enfin bref tout cela pour dire que qu’il n’en fait parti mais il ne s’amuse pas à écouter ce que l’on dit sur eux enfin il écoute mais cela ne l’empêche pas de dormir. Aujourd’hui, alors qu’il se rend au travail ce dernier voit un post-it sur son bureau qui l’avertit qu’il faut qu’il se rende vers Belgravia. Pas de problème après tout si c’est ce qu’il doit faire, il reprend donc la voiture et tente de s’y rendre sans avoir à se taper les rues bondées de monde. Ceci dit vu l’heure qu’il est, il n’est sûr que cela soit trop bondé. A la rigueur il aura la population abondante de toutes les personnes qui se rendent au travail et encore beaucoup s’y rendent en transport enfin en bus ou en métro.

Heureusement  il arrive finalement à destination en peu de temps. Enfin disons qu’il aurait put prendre plus de temps si les conditions n’avaient pas été bonne pour lui mais connaissant quelques rues qui permettent d’éviter les embrouilles et les problèmes et vu l’heure qu’il est tout cela lui a plutôt été favorable. Il gare sa voiture dans la grande rue où se trouve l’habitation où il doit se rendre. Il cherche alors le numéro de l’endroit où il doit aller sonner et alors qu’il a enfin trouver, Matthew se dirige vers la porte et appuie sur le bouton de la sonnette. Après avoir bien évidemment entendu cette dernière retentir et étant certains qu’il avait manifesté sa présence, il ne lui restait plus qu’à attendre qu’on vienne lui ouvrir ce qui finalement ne prit pas trop de temps. On vint alors lui ouvrir la porte, il se présenta et la pièce qui permettait de s’identifier comme faisant partie des forces de l’ordre enfin de la police quoi. On lui fit signe de rentrer à l’intérieur ce qu’il fit sans rien dire pour le moment. Une fois la porte refermée, il osa prendre parole.

« Bonjour, on m’a avertit qu’il était nécessaire que je vienne chez vous. Il est question d’une agression si je ne me trompe guère. »


Il regarde alors la femme qui lui fait face et attends une quelconque réponse de sa part.