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 [Abandonné] Face à Face entre deux maitres dans l'art de la Manipulation (Pv William M.Keynes)

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MessageSujet: [Abandonné] Face à Face entre deux maitres dans l'art de la Manipulation (Pv William M.Keynes)   [Abandonné] Face à Face entre deux maitres dans l'art de la Manipulation (Pv William M.Keynes) EmptyMer 1 Aoû - 19:20

Victoria n'en pouvait plus. Elle s'était encore une fois disputer avec sa mère. Pour quelle raison? Elle ne s'en rappelait plus. Cette nuit là, elle ne voulait pas dormir chez elle, alors elle appela Francesco Carvalho pour qu'il viens la chercher. Victoria n'avait pas de permis de conduire alors Carvalho avait été désigner comme étant son chauffeur.

La jeune femme attendit devant chez elle. Elle avait une petite valise noir à ses pieds. Ses longs cheveux blonds étaient boucler. Elle était maquiller et son rouge à lèvres étaient rouge sang. Elle portait une belle robe noir et un magnifique collier de perle qu'elle avait pris à sa mère.

Quelques minutes plus tard, la Mercedes Benz F700 noir de Carvalho s'arrêta devant la Dolohov. Le Brésilien sortie de la voiture et alla ouvrir la porte arrière droite. Victoria prit place dans la voiture, puis l'homme referma la porte. Il prit la valise et la mis sur le siège du passager. Il s'installa derrière le volant et démarra.

- Où voulez-vous que je vous amène, patronne?

- Dans un hôtel. N'importe lequel. Tant qu'il soit luxueux.

- Je connais un endroit assez sympa. C'est à Boroughs. À première vue, c'est un endroit réserver pour les célébrités, mais en réalité, ce n'est pas le cas. C'est un endroit pour monsieur madame tout le monde, enfin...pour ceux qui ont beaucoup d'argent....

- Carvalho. Regardez bien ce visage.

L'Homme regarda par le rétroviseur.

- Aucune expression, aucun intérêt.

Carvalho se tue. Le reste du trajet ce fit en silence.

Une demi-heure plus tard, la Mercedes s'arrêta devant un grand hôtel. Francesco Carvalho sortie de la voiture et alla ouvrit la porte de Victoria.

- Merci, Carvalho, dit-elle en sortant de la voiture.

Elle prit sa valise que lui tendait son homme de main et entra dans l'hôtel. C'était vraiment un endroit ravisant. Elle alla à la réception pour prendre une chambre pour deux nuits.

Après avoir porter sa valise dans sa chambre qui était au quatrième étages, Victoria Dolohov descendit au bar. Il était environs 11h00 du soir. La jeune femme alla s'asseoir au comptoir. Elle commanda un Whisky.

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MessageSujet: Re: [Abandonné] Face à Face entre deux maitres dans l'art de la Manipulation (Pv William M.Keynes)   [Abandonné] Face à Face entre deux maitres dans l'art de la Manipulation (Pv William M.Keynes) EmptyMar 7 Aoû - 17:27


DOLOHOV et KEYNES
❝ And I told you to be patient and I told you to be fine and I told you to be balanced and I told you to kind ❞ BIRDY ©️ LJ - FF


    Applaudissement. Le spectacle avait débuté depuis près de deux heures trente – William l’avait légèrement avancé en voyant que certaines de ses danseuses commençaient à ressentir l’effervescence du stress des comédiens – et à aucun moment les spectateurs n’avaient cessé d’applaudir ses filles. Le propriétaire de l’hôtel, assis dans un coin, à l’ombre, un verre de bourbon devant lui, une clope coincée entre son index et son majeur. Le menton posé au creux de sa paume gauche, les yeux rivés sur la scène, observait le spectacle aussi. De son œil d’expert, il notait le moindre détail, la moindre hésitation qui paraissait pourtant naturelle aux autres personnes présentes dans la pièce. Il balança son regard à travers toute la pièce, eut un sourire satisfait en voyant tous ces hommes d’affaires absorbés parce qu’ils voyaient, une lueur taquine dans le regard lorsqu’il aperçut Ania, aguicheuse comme jamais, se frotter contre les jambes serrées d’un célèbre conservateur encore mal à l’aise. La petite Ania, âgée de tout juste vingt-deux ans, ne venait que certains soirs pour faire son show. Etudiante en danse, elle profitait de ses répétitions en cours pour préparer sa propre chorégraphie pour le Mary. Elle était jeune, fraîche, débordante d’énergie. Son corps encore menu d’adolescente plaisait à plus d’un homme. William lui-même avouait ne pas y être insensible, mais ne tentait rien. Il avait beau être un homme à femme, un véritable tombeur, un coureur de jupon invétéré, il avait encore quelques principes qu’il respectait à la règle.

    Finissant son verre d’une traite, William se leva silencieusement de sa chaise et, se faufilant à travers les tables, il rejoignit les coulisses. L’avantage d’être le propriétaire des lieux. Il pouvait aller où il voulait quand il le souhaitait. Et il en profitait. Mais l’ex-taulard profitait de tout, la plupart du temps. Il y avait vraiment peu de choses dont il ne profitait pas, à vrai dire. Les danseuses se précipitèrent autour de lui, excitées comme des puces, tremblantes, en tenues légères. Elles l’appelaient, tendaient les bras pour le toucher, lui posaient mille et une questions. Lui laissait un léger rire lui échapper. Elles le côtoyaient presque tous les jours pour une grosse partie d’entre elles, mais elles continuaient de l’accueillir comme une célébrité dès qu’il venait les voir entre deux shows. Ceci dit, cela n’avait rien de désagréable, bien au contraire. William en rassura une ou deux, les novices en général, leur adressant un sourire étincelant digne des meilleurs publicités pour dentifrices. Il en prenait parfois une ou deux dans ses bras, caressant leur dos et leur soufflant un « Tu vas être géniale. Table cinq » au creux de l’oreille qui, il le sentait, leur tirait un long frisson. Oui, il savait manipuler son monde. Oui, il savait charmer son monde. Oui, il savait plaire aux filles. Même celles qui ne le trouvaient pas à leur goût ne pouvaient s’empêcher de frissonner lorsqu’il employait ce ton suave.

    Mia fit son apparition, à son tour, dans les coulisses. Toutes les autres danseuses s’écartèrent. C’était comme un rituel qui était instauré. Dès que Mia était là, plus aucune autre fille n’approchait William. Elle ne se l’appropriait pas, mais toutes les danseuses n’étaient pas sans savoir la relation complexe qu’ils entretenaient. Et Mia étant la plus expérimentée de toutes, personne n’osait se mettre en travers de son chemin. Si elle disait qu’elle voulait échanger de client avec une autre, on le faisait – même si William n’approuvait pas toujours ses caprices. Si Mia ordonnait à ce qu’aucune fille ne caresse William, aucune autre n’allait se risquer à le faire. Le patron était bien au courant ; parfois, il en parlait avec Mia qui ne donnait jamais aucune explication. Il s’amusait, de temps en temps, à séduire une autre danseuse, pour le simple d’observer la réaction de Mia. Mais, lorsqu’il le faisait, celle-ci se contentait de lui faire son sourire ravageur et continuait son travail, docilement. Elle aimait se prétendre être le chef tout en étant bien consciente que c’était William qui décidait de tout. C’était lui qui disait quand et où. En général, c’était lui qui allait la voir lorsqu’il avait une soudaine envie de sexe, rarement l’inverse. Mia se fraya un passage jusqu’à lui, ondulant des hanches, roulant des yeux. Ses cheveux roux attachés en un chignon serré, son chemisier blanc saillant, sa jupe plissée remontant mi-cuisse. Parvenue à sa hauteur, elle posa une main sur son épaule et William se jeta sur ses lèvres.
    « Tu viens me souhaiter bonne chance, à moi aussi ?
    ─ Hm ? Non pas vraiment, je sais que tu vas être parfaite. Tu l’as toujours été. Je voulais juste te prévenir que dès demain tu ne montes plus sur scène avant la semaine prochaine.
    Quoi ? Mais pourquoi ?
    ─ Nouveau gros client. Vraiment très gros, si tu vois ce que je veux dire. Il arrive la semaine prochaine, mercredi. Je veux que dès qu’il a franchit le seuil de la porte de cet hôtel, tu sois entièrement à lui. Où qu’il aille, tu es avec lui. Tu l’accompagnes même pisser et tu la lui tiens s’il le faut, ok ? T’as une semaine pour lui réserver un spectacle d’enfer tous les soirs. Sans compter les shows privés auxquels il aura droit dès qu’il voudra tirer un coup. On est d’accord ?
    Il reste combien de temps ?
    ─ Cinq jours. Voyage diplomatique si j’ai bien compris. Il est allemand.
    Pourquoi moi ?
    ─ Il a un fort penchant pour les rousses.
    »
    Il se pencha, posa une main sur sa hanche qu’il tira lentement à lui, collant leurs bassins. Elle frémit alors qu’il approcha ses lèvres de son oreille. Elle sentit son sourire carnassier fendre son visage alors que lui pouvait entendre les battements de son cœur.
    « Et qui dit gros poissons dit gros besoins. Or tu es la meilleure dans ce domaine-là. Ne discute pas, tu ne pourras pas t’en débarrasser aussi facilement que les autres. »
    Tournant la tête, il frôla sa joue d’un baiser, faisant monter une légère teinte rose à ses pommettes. Elle allait pour répondre lorsqu’il la lâcha, tournant les talons. Une main de la poche, portant l’autre à ses lèvres pour tirer une taffe sur sa clope. Il quitta les coulisses, retrouva la pénombre du théâtre. Il s’y arrêta quelques minutes, profitant de l’instant pour vérifier qu’Ania était toujours à son poste. Un sourire étira ses lèvres qu’il la vit, une main glissée dans la fermeture éclair de l’homme, l’autre plongée dans son début de calvitie, le visage niché dans son cou. William souffla, créant un nuage gris dans la pièce, sourire au coin des lèvres. Ania était toujours fidèle au poste. Il tourna la tête en direction du bar, fronça les sourcils. Lorsqu’il s’était rendu dans les coulisses, le bar était vide. Et pour sûr, à l’heure des spectacles, les clients de l’hôtel regagnaient leur chambre, bien souvent, ou allaient prendre place dans le théâtre. Parfois, ils sortaient à des soirées mondaines, mais ce cas de figure restait rare. Sa Rolex sonnait vingt-trois heures lorsqu’il se dirigea vers l’unique personne assis au comptoir, un verre de whisky devant elle. Il adressa un salut au barmaid, commandant un double scotch par ce même signe de tête. Il écrasa sa cigarette dans le cendrier, s’installa sur un tabouret, laissant un faible espace entre la nouvelle venue et lui-même.
    « Un whisky à cette heure-ci ? Vous devriez venir plus souvent, ça ferait monter le chiffre d’affaire » lança-t-il à la volée sans même prendre la peine de la regarder.
    Le barman posa un verre propre devant lui, le remplit. William le remercie d’un nouveau signe de tête, attrapa l’objet, le porte à ses lèvres avant de tourner la tête vers la jeune femme. Ses yeux la détaillèrent très rapidement, une lueur indéchiffrable traverse son regard clair. Il leva le verre dans la direction de la Belle.
    « A votre arrivée ingénieuse dans mon luxueux hôtel. Bien qu’il semble beaucoup plus terne depuis que vous êtes venue illuminer ces lieux »
    Il agrémenta sa réplique de son éternel sourire charmeur. Celui dont il usait tout le temps. Celui qui lui avait toujours permit de parvenir à ses fins.




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