Let live and let die ~ Gavriel

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Gavriel Eisenhower.
ft Michael Fassbender.

Présente toi :
Je m'appelle Gavriel Eisenhower, je suis né le 11 novembre 1980 en Irlande. J'ai donc 33 ans. Dans la vie je suis tueur à gages. Sinon je suis célibataire, vous y croyez ? Je fais partie des criminels car c'est ce qui me définit le mieux. On me dit souvent que je ressemble à Michael Fassbender mais quand je me regarde je ne trouve aucun air de ressemblance...

Pseudo

Bon alors je vous épargne la présentation vu que vous me connaissez mieux sous le pseudo de John Watson. Et ouais, déjà un double-compte. C'est la faute à Seb qui m'a corrompu pour que je fasse ce perso. Et puis j'aime bien avoir des OCs. Et puis ça manquait de criminels. Et ça manquait d'hommes, aussi. Et fuque, j'ai pas à me justifier d'abord.

Let live and let die ~ Gavriel 2176505670

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Some things about me.

Gavriel est un maniaque de la propreté. Son appartement est toujours impeccable et lui-même est toujours tiré à quatre épingles, le plus souvent habillé d'un costume hors de prix. Il a les bactéries en horreur et se lave fréquemment les mains, bien qu’il porte le plus souvent des gants. Il déteste toucher les gens pour cette raison et ne le fait qu’en cas d’extrême nécessité.

Gavriel peut négocier avec ses clients les termes d’un « nettoyage » (c’est comme ça qu’il appelle ses meurtres - ça lui ressemble bien), mais parmi les clauses qu’il ne négocie jamais : pas de meurtres à mains nues, et il évite les armes blanches autant que possible. Il préfère utiliser des armes à feu, c’est propre et net, pas la peine se salir les mains. Sans oublier que c’est nettement moins traçable.

Gavriel a l’oreille absolue. Il peut rejouer n’importe quelle composition après l’avoir entendue une fois. En revanche, il ne compose jamais. Il peut jouer de plusieurs instruments mais favorise le piano.

C’est quelqu’un de très cultivé sur un peu tout, et qui multiplie souvent les références diverses lorsqu’il parle.
Il pratique couramment plusieurs langues, dont le latin, et passe souvent de l’une à l’autre sans même s’en rendre compte.

Il est d'origine germano-irlandaise ; né de père allemand et de mère irlandaise, il a néanmoins depuis acquis la nationalité britannique.

Gavriel a très tôt été diagnostiqué apathique. Il mime les émotions plus souvent qu’il ne les ressent, et seulement par nécessité. Il n’en est pas entièrement dépourvu, mais c’est tout comme. Il n’a que très peu d’attaches. Ce n’est pas parce qu’il ne peut pas en avoir – bien au contraire, n’ayant pas un physique entièrement désagréable, et disposant d’une certaine richesse aussi bien culturelle que matérielle, il séduit aisément – mais parce qu’il ne le veut pas. Pour lui il est important de garder l’esprit clair en toutes circonstances et donc de ne pas s'encombrer de relations inutiles. Il est toujours d’un très grand sang froid. Méticuleux, patient, il prend son temps.

« Nettoyer » pour lui, ne se limite pas à tuer quelqu’un. Il fait disparaître la personne en question. Disparaître des registres, des comptes en banques, de la mémoire des gens. C’est comme si elle n’avait jamais existée. Il a pour ce faire un réseau important qui s’étend un peu partout dans le monde.
Il se limite cependant à deux ou trois assassinats par an, car pour des raisons évidentes, nettoyer de façon efficace, sans laisser de traces, demande un certain temps.

Pas de question de morale. Gavriel tuera la personne que vous lui nommez, que ce soit le Dalaï Lama ou Bachar al Assad, ça ne fait aucune différence pour lui.

Personne ne sait si Gavriel Eisenhower est son vrai nom ou un pseudo. On ne lui a jamais connu d’autre identité. On ne sait rien de son histoire non plus. Il vous dirait peut-être qu'il n'en a pas. Gavriel ne vit que pour son travail et c’est sa seule source d’intérêt dans la vie, en plus de se cultiver.

Recenser son avatar :

Code:: [color=crimson]Michael Fassbender Gavriel Eisenhower[/color]

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Tell me your story.

Gavriel n’a pas toujours été apathique. Au contraire. Fut un temps, il y a maintenant longtemps de ça, c’était un garçon très sensible, et tout le monde s’accordait à dire qu’il était aussi attachant que charmant. Né en Irlande, dans le manoir familial de sa mère qui avait souhaité y accoucher, il a néanmoins grandi à Londres, le travail de ses parents ne leur permettant pas de s'installer ailleurs.
Bien élevé, poli, il était le fils unique d’un couple pour le moins important : son père travaillait comme ministre de la défense, et sa mère était la PA du premier ministre. Du fait de leurs emplois du temps respectifs, le jeune Gavriel était souvent confié à sa nourrice, jusqu’à ce que sa mère décide de rendre sa lettre de démission pour passer plus de temps avec lui. Son enfance était, somme toute, heureuse.

Il n’avait que neuf ans lorsqu’il a été réveillé au beau milieu de la nuit en entendant le cri d’effroi de sa mère. Il n’avait pas eu le temps de s’extirper de son lit avant que sa mère n’entre dans sa chambre, les mains tâchées de sang, l’air paniqué, en lui chuchotant d’une voix sanglotante de se cacher sous le lit et de ne plus bouger. Il n’avait pas eu le temps de lui obéir non plus. Un homme en costume était entré, avait calmement vissé un silencieux à l’extrémité de son arme et avait tiré à bout portant sur sa mère qui avait tenté de s’interposer entre eux. L’homme et l’enfant avaient échangé un long regard, puis il était parti, laissant Gavriel seul avec le cadavre de sa mère, une balle dans le front, les yeux vitreux, tandis que son sang maculait lentement la moquette de sa chambre.

Il fut placé dans un orphelinat, à Oxford. Le psychologue qui le suivait le diagnostiqua rapidement apathique. L’enfant devint muet. Ne parlant jamais, ne montrant aucune émotion, il se contentait d’agir par automatisme. Il fut placé dans une famille d’accueil. A deux reprises. Mais les parents, effarés par son manque d’expressivité malgré son obéissance et sa docilité, ne purent se résoudre à le garder. Il grandit ainsi dans l’orphelinat et grâce à la fortune laissé par ses parents, pu intégrer les meilleures écoles (celles qui proposaient un internat, en tout cas). Il fit de brillantes études, continua jusqu’à l’université, dont il ressorti diplômé et armé des meilleures recommandations. S’il s’était remis à parler peu à peu vers ses 13-14 ans, il restait distant et froid, s’isolant du monde autant qu’il le pouvait. Mais en grandissant, il réalisa qu’il avait gagné un certain charisme auprès de la gent féminine (et masculine) et décida d’en jouer pour parvenir à ses fins. Un service par ici, un autre par là. Il se fit rapidement une réputation, un petit réseau constitué de grands noms, de gens de pouvoirs sur lesquels il pouvait utiliser l’influence de son nom. Et de son argent.

Toutes ces années, il n’avait pas oublié le visage de l’homme qui avait détruit sa famille. Qui avait détruit sa vie. La vengeance était son seul leitmotiv, sa seule raison d’être. Peu importait le temps que cela prendrait, il le retrouverait. Il le retrouverait, et le tuerait.
Tuer ne l’effrayait pas. Dépourvu d’émotion et donc de compassion, il ne ressentait rien. Il se sentait mort. S’il fallait abattre un obstacle pour parvenir à ses fins, ce n’était qu’une formalité. Il découvrit rapidement que le pouvoir de vie et de mort pouvait apporter autant, sinon plus de choses que celui de l’argent. Si tuer devait devenir sa monnaie d’échange, ainsi en serait-il. Il se convertit en tueur à gages. Se fit une réputation. Il était efficace, discret et ne s’encombrait pas de remords. Les plus grands chefs d’état firent appel à ses services. Gavriel ne refusa jamais un contrat.

Grâce à ses contacts, une piste, infime mais bien présente, apparut. Puis une autre, et une autre. Et soudain, il y eut un nom sur ce visage qui hantait ses nuits. Une adresse. Et une nuit, un 11 novembre froid et pluvieux, tel un cadeau tombé du ciel pour le jour de ses 30 ans, le face à face eut enfin lieu.

Il ne savait pas ce qu’il avait cru. Que le meurtre de l’homme rendrait justice à la mort de ses parents. Que son agonie apaiserait son âme. Qu’il serait enfin quitte avec la Faucheuse. Qu’il pourrait recommencer à vivre.
Il n’en fut rien. La mort de son ennemi le laissa froid, l’abandonna avec la même colère qui rongeait ses tripes, la même rage, le même désespoir, le même vide en lui. Il ne savait que faire d’autre, alors il continua la seule chose pour laquelle il se savait doué : tuer. N’importe qui, n’importe où, n’importe quand. Bon ou mauvais, homme ou femme, adulte ou enfant, il ne faisait pas de différences. Il détruisait les familles sans remords, sans regard en arrière, sans une once d’empathie pour les cris et les larmes versées derrière lui.

Au fond, quand il y pense, il trouve cela assez ironique. Pour traquer son ennemi, il est devenu son ennemi.
Il est devenu tout ce qu’il détestait.

Spoiler:

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Toooom

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Je te dirai bien bienvenu, mais je crois que ce serait inutile, nope ?
Mais bienvenu quand même Let live and let die ~ Gavriel 778786311

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Bienvenue!!! :D

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Merciii!

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Moi aussi je t'aime, Sebby. Let live and let die ~ Gavriel 2222602150

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Ce titre me rappelle une chanson des Guns N'Roses. Tu es le bien, en fait, toi. Let live and let die ~ Gavriel 1828999080

Je te souhaite (bien inutilement) la bienvenue. Let live and let die ~ Gavriel 2897734594

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Yeaah, bien joué pour la référence & merci beaucoup! Let live and let die ~ Gavriel 778786311

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MERCIII

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TOI J'TE FAIS L'AMOUR. I love you

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QUAND TU VEUX. Let live and let die ~ Gavriel 891098728

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OH FUCK TOM HIDDLESTON EN TUEUR A GAGE. ♥_♥ Obligé, il va falloir un lien. Parce que voilà.

Bienvenue à ton personnage. <3

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IL GERE LA FOUGERE LE PETIT HIDDLES.

Ahem. Merci pour lui. Cool

**Messages** :

Bon. Fiche totalement réécrite, avatar changé, passé retravaillé, je pense que je vais pouvoir donner une nouvelle vie à Gavriel après avoir été à deux doigt de le supprimer.
Je ressors donc tout ça de la corbeille en espérant que cette fois sera la bonne !

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