Billie M. Wilson ♥ I'm not scare to die. I'm scare that death catch me before I had to live.

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Billie Mackensie Wilson
ft Olivia Cooke

Présente toi :

Je m'appelle Billie Mackenzie Wilson, je suis née le 1er mai 1991 à Cardiff, Angleterre. J'ai donc 22 ans et toutes mes dents. Dans la vie je suis étudiante en psychologie et stagiaire auprès du Yard. Sinon je suis en couple avec la vie, vous y croyez ? Je fais partie du Scotland Yard car c'est ce qui me définit le mieux. On me dit souvent que je ressemble à Olivia Cooke mais quand je me regarde je ne trouve aucun air de ressemblance...

Pseudo

Bonjour, bonjour, bonjour! Je m’appelle Bianca. Sur Internet on me connait sous le nom de MissPiggy ou d’Ozone1992... Ici, on me connait aussi sous le nom de Casey et de Rose. J’ai vingt-et-un ans, je suis née le 19 septembre 1992. Je suis québécoise. J’aime Sherlock Holmes, les séries policières et Doctor Who. J’adore aussi mon domaine d’étude qui est l’enseignement primaire et l’éducation préscolaire. J’ai atterri ici par un étrange concours de circonstance et je trouve le forum fantastique. Ne changez pas d’un gramme car je sens que je vais avoir beaucoup de plaisir ici! Je suis un inventé non décidée… voilà voilà!

Some things about me.

En apparence, un petit ange avec une paille au nez qui a refusé de grandir - typique du syndrome de Peter Pan

Bonne écoute ♪ Casse-cou ♪ Courageuse ♪ Distraite ♪ Enfantine ♪ Extravertie ♪ Idéaliste ♪ Immature ♪ Indifférente à son état ♪ Influençable ♪ Mythomane ♪ Naïve ♪ Ne s’apitoie jamais sur son sort ♪ Non ponctuelle chronique ♪ Optimiste ♪ Professionnelle ♪ Profondément geek ♪ Radicalement honnête ♪ Refuse de juger autrui ♪ Répète à qui veut l’entendre qu’il ne faut pas avoir de regret ♪ Rêveuse ♪ Sociale ♪ Vit dans le moment présent

À l’intérieur de cette petite tornade de vingt-et-un ans ans déterminée à vivre

Accepte ses limitations, non de pleine volonté ♪ Anxieuse à l’idée que demain n’existe peut-être pas ♪ Battante ♪ Critique à son égard ♪ Curieuse ♪ Déteste que l’on lui dise qu’elle est malade ♪ Déteste que l’on fixe son animal de compagnie – sa bombonne d’oxygène ♪ Déteste qu’on lui rappelle qu’elle est mourante – parce qu’elle pense que l’on l’est tous en partie ♪ Désillusionnée face à toute les sortes de croyances ♪ Drastiquement prudente ♪ Indécise ♪ Méfiante ♪ Mélomane ♪ N’a pas peur de la mort mais a peur de ne pas avoir assez vécu ♪ Ordonnée ♪ Paradoxale ♪ Refuse de se donner le droit de baisser les bras face à sa maladie ♪ Sait qu’elle affiche un visage différent que ce qu’elle ressent la plus part du temps ♪ Sensible du regard que les autres portent sur elle ♪ Terriblement tête de cochon ♪ Très mature ♪ Vierge ♪ Voudrait laisser sa marque sur le monde qui l’entoure

15 questions de portrait chinois

1. Si j'étais une drogue, je serais... l'oxygène pour que personne ne puisse se passer de moi... oh! Ce n'est pas une drogue? Bah! Pour moi, si!
2. Si j'étais un métier, je serais... agente de police. Pour faire le bien et pour pouvoir marquer le monde au quotidien.
3. Si j'étais une pièce de la maison, je serais... la grande serre de mes parents à la campagne pour que la vie rayonne à travers moi et à chaque matin embrasser le soleil.
4. Si j'étais un personnage de Disney, je serais... la princesse Anna d’Arendelle pour pouvoir être libre comme le vent et avoir toujours confiance en ce merveilleux demain qui m’attend.
5. Si j'étais une citation, je serais... "Même sans espoir, la lutte est encore un espoir" parce qu'il ne faut jamais abandonner.
6. Si j'étais une viennoiserie, je serais... un fondant à la cannelle car avec la douceur du sucre et la surprise de la cannelle qui éclate dans notre bouche... tiens, ça me donne faim!
7. Si j'étais une qualité, je serais... l'optimisme.
8. Si j'étais une boisson chaude, je serais... un chocolat chaud pour amener le réconfort en une gorgée chaude.
9. Si j'étais un parfum de glace, je serais... un sorbet arc-en-ciel comme celui que me faisait ma maman quand j'étais petite.
10. Si j'étais une couleur, je serais... le rouge parce que je suis fonceuse, déterminée et que je reste longtemps en tête.
11. Si j'étais un vice, je serais... la gourmandise parce qu'il faut vivre simplement sans avoir tendance à tout prendre pour soi.
12. Si j'étais un superpouvoir, je serais... le pouvoir de guérisseur pour s'assurer que toutes les personnes comme moi puissent guérir, vivre vieille et heureuse plutôt que de mourir jeune.
13. Si j'étais un son, je serais... le son de la pluie sur les toits lorsque l'on s'endort.
14. Si j'étais une odeur, je serais... le parfum de lavande dont ma mère parfume encore mes draps. Une odeur criante de vie et discrète que l'on connait si peu dans le fond.
15. Si j'étais un avion, je serais... l'avion des frères Wright pour me lancer dans le vide sans être totalement sur de planer au final.

Recenser son avatar :

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Tell me your story.

5h30. Le son de mon réveille-matin résonne dans ma chambre. Mon stage commence à 9h. C’est ma première journée de stage en psychologie. Et on sait tous que ça a été l’enfer pour moi de me rendre jusqu’à là. Pourtant, je ne peux m’empêcher de chercher d’une main le réveille en voulant tout simplement le tuer. Pour quelqu’un de normal… se lever trois heures et demie avant un stage quand on vit à top chrono cinq minutes à pied du dit lieu de stage c’est faire preuve d’un sadisme innommable. Sauf que pour moi… c’était un essentiel. Je n’étais pas quelqu’un de normal. Mon bras finit par accrocher le bouton de rappel. Juste un petit dix minutes d’extra. Ça ne me mettra pas drastiquement en retard. Je ne me mettrais pas dans le jus pour ça. Je sombre de nouveau pendant quelque huit minutes. En fait, ce n’est pas quelque huit… c’est exactement huit minutes. Ces huit minutes là… c’est sans doute celui qu’il va me falloir pour me faire un déjeuner, le temps qu’il va me falloir pour me tenter de me convaincre que mon état un peu particulier n’est pas TROP visible ou pour que ma mère vienne me sauter une coche sur le pourquoi mon lit n’est pas fait.

5h38. C’est officiel que si je ne me lève pas maintenant… je vais le regretter amèrement. J’éteins mon réveille-matin et je m’assis doucement sur le bord de mon lit. Mes pieds glissent dans mes pantoufles. J’aimerais faire comme bien des filles de vingt-et-un ans et me lever d’un coup sec de mon lit. Mais ce n’est plus possible depuis que j’ai mon animal de compagnie – mon animal de compagnie, c’est ma bombonne d’oxygène. Elle s’est jointe à ma routine depuis deux semaines maintenant. Je n’ai pas vraiment prévenue mon superviseur du stage au Yard que j’avais une bouteille géante d’oxygène qui me suivait partout. Vingt-quatre sur vingt-quatre jusqu’à nouvel ordre des médecins qui me suivait. Disons que j’avais tendance à être discrète sur mon état. Mucoviscidose. Voilà mon état. Un mot. Que je traine avec moi à tous les jours depuis toujours. Quand on a rien connu d’autres, disons que l’on s’acclimate aux limitations que la maladie entraine. C’est la raison pour laquelle j’ai appris à me lever trois heures et demi… m’enfin, presque… avant tous mes rendez-vous. Parce que je sais pertinemment combien de temps me prend ma routine du matin. Je retire la bombonne de son socle et me voilà partie vers ma penderie. En moins de dix minutes, j’ai choisi ce que je vais porter. Niveau vestimentaire, je ne suis pas celle qui est au top de la mode. Mais ce que je porte, je l’aime. Une paire de pantalon sombre, des espadrilles, une chemise et un cardigan. J’ai froid ces temps-ci – ce qui explique la superposition. Je ramasse une serviette et une débarbouillette. Je file sous l’eau chaude.

6h00. J’entends ma mère cognée à la porte de mon appartement. Ils m’ont laissé le luxe de partir en "appartement" à la mort de madame Turner. Madame Turner c’est celle qui pendant au moins 110 ans à occuper l’appartement du dessus de notre petit duplex. Elle est décédé il y a maintenant neuf mois. Et depuis huit mois, j’occupe son logement. C’est sûr que j’aurais préféré pouvoir avoir un appartement à moi. Parce que j’avoue que ma mère est plutôt le genre de mère protectrice. Je ne peux pas lui en vouloir. Mes parents m’ont eu jeunes, à vingt-deux et vingt-quatre ans. Ils ont reçu mon diagnostic quand j’avais six mois. Et pour eux, ça a été toute une adaptation alors que ce n’était pas mon cas. J’ai à peine le temps de m’enrouler dans une serviette après avoir enrouler mes cheveux dans une autre que j’entends la clé glissée dans la fente de la porte. Ma mère est protectrice à mon égard. Je sais qu’elle s’inquiète que j’aille un appartement à moi. Elle a peur de me trouver inconsciente un matin sur le sol. Elle a peur de me perdre. Chacune des fibres de son corps le mentionne. Elle m’aime d’amour. Comme une mère aime sa seule fille. Je soupire en la voyant ouvrir la porte : « J’étais dans la douche maman… faut pas t’inquiéter. » dis-je avec un petit sourire. Elle me sourit doucement. Je savais qu’elle était probablement plus nerveuse que moi. « Pas trop nerveuse, ma chouette? » dit-elle en déposant sur la table de cuisine la boîte qui venait de ma pâtisserie préférée. Il faudrait avant que je fasse mon inhalothérapie et que je prenne les enzymes. Je souris doucement en enlevant la serviette de mes cheveux. Il faudrait que je sois présentable. « Ça va aller maman… C’est sûr que je suis nerveuse… mais ça va bien aller. » Dis-je d’une petite voix douce. Je soupirais, j’avais besoin de temps pour me préparer et chasser ma mère de chez moi m’était toujours un peu pénible. Elle devait sans doute être plus nerveuse que moi. « Je veux pas te pousser maman… mais j’ai de la préparation à faire… et je peux pas vraiment te parler. Je vais t’appeler ce midi et ce soir, je vais venir souper, d’accord? ». Elle hocha la tête, ramassa son sac et fila vers l’appartement du bas.

6h35. J’avais appris par cœur comment remonter mon nébuliseur. C’était un puzzle quand j’étais jeune. Maintenant, c’était un traitement tellement normal que je l’avais intégré à ma routine. Je savais parfaitement comment tout mettre dans mon nébuliseur. J’avais une liste horrible de médicaments qui allait rentrer dans mes bronches ce matin. Je commençais par une demi-heure de drainage. J’étais capable toute seule… mais si ma capacité tomberait sous les trente pourcent, je devrais sans doute attendre que mes parents viennent me faire des drainages posturaux. Pour l’instant, deux fois par jour, au matin et au coucher, je faisais des expériences de kinésithérapie. Pendant que je respirais avec une attention soutenue, je finis par monter en entier la pompe.

7h05. Je mesurais avec une seringue chacune des trois fioles. Il fallait d’abord un mélange d’antibiotiques. Il n’avait pas fait partie de ma routine habituelle avant il y a cinq mois. J’avais été malade cette fois-là. Assez. Et c’était là que ma capacité pulmonaire avait vraiment commencé à plonger. Pour l’instant, j’étais fonctionnelle. Mais ma dernière cure d’antibiotique datait d’il y a sept semaine et je commençais déjà à me sentir plus essoufflée. Le temps me manquait. J’en avais conscience. Mais j’espérais que je finirais mes études. Alors je faisais attention et je mesurais avec attention la mesure des antibiotiques en aérosol. Je mettais ensuite en même temps un mucolytique – du Pulmozyme – pour tenter de fluidifier le mucus de ma gorge et je finissais avec un peu de bronchodilatateur – du Proventil. Je retirais la paille que j’avais au nez. Aussitôt, je voyais la différence. Mon dieu! Ou était passé l’oxygène? Je respirais tellement difficilement. Je m’assis sur la chaise de la cuisine et je partis le nébuliseur. Je toussais entre deux inhalations. C’était tellement dur. Comme à chaque lundi matin, je profitais de ça pour faire mon pilulier. J’en avais un pour chaque repas. C’était une horreur. J’avais une fortune en médicaments. Il me fallait des enzymes pancréatiques, des suppléments de vitamines A, des D, des E, des K, des suppléments de caroténoïdes et des suppléments minéraux.

7h55. Je ne toussais comme pas possible après l’inhalothérapie. C’était toujours l’enfer. La paille remise en place, j’avais l’air d’une vieille fumeuse. Je ne pouvais pas nier que ça fonctionnait. Je marchais vers le frigo pour y ramasser mes suppléments nutritionnels. C’était emmerdant de ne pas pouvoir manger normalement. Je devais manger pour maintenir mon poids cent quarante pourcent des calories d’une personne normale. Et pourtant, j’étais loin d’être grosse. Mon petit déjeuner fut constitué d’une brioche à la cannelle ramenée par ma mère que je fis réchauffer. J’accompagnais le tout de deux suppléments buvables au chocolat et des enzymes. Je savais que même si je n’avais pas faim à cause du stress, je devais faire l’effort de manger. Je n’avais vraiment pas faim par contre. J’étais trop nerveuse pour. Je fis un effort monstre et je finis mon assiette. Je mis le tout dans mon lavabo.

8h20. Je fis mon sac en y glissant mes notes de cours. Ne pas avoir eu la mucoviscidose, j’aurais aimé travailler pour la police. J’espérais pouvoir trouver un rôle de profiler peut-être bien dans un bureau. C’était pour cette raison que j’avais postulé pour ce stage au Yard. Un petit rêve d’enfant qui se réalisait. J’étais pratiquement sure de ne rien avoir oublié. Je glissais ma trousse de médicaments et de pompes. J’avais aussi une autre trousse de crayons. Je rajoutais aussi un bloc de papier neuf. Nerveusement, je vérifiais une dernière fois que j’avais absolument tout de disponible pour moi.

8h45. Je descendis l’escalier avec un petit sourire nerveux. Mon sac bien redressé sur mes épaules, je partis vers Scotland Yard. J’avais toujours vécue à la même adresse depuis mes six ans. J’aimais mon quartier. J’aimais le fait que c’était central. Pas très loin de l’université et que je n’avais pas trop de problème à me rendre à Saint-Bart quand j’étais malade. C’était central. C’était parfait. Il faisait beau en ce magnifique lundi. Marchant, je savais que j’attirais des regards par le biais de ma bombonne que j’avais décorée lors de ma dernière hospitalisation. Trainé un gros truc métallique pas trop mon genre. Avant d’entrer dans Scotland Yard, je regardais mon cellulaire. Un message de Zoey : « Quelle connerie on raye de la liste ce soir après ta première journée de stage? ». Zoey faisait référence à cette liste. Zoey était une de mes amies d’université. Elle avait son stage dans un bureau plus cossu que moi. Et la connerie, c’était une référence à la liste. À ma dernière hospitalisation, il y a deux mois, Zoey était venue me voir et on avait passé 4 heures à coucher sur papier ma liste des choses à faire avant de mourir. Depuis, quand j’allais bien, on s’amusait à retirer des trucs de la liste. Je souris avant de répliquer « dépend de ce qui se produit comme journée. ». Et je passais la porte après avoir refermé la porte.

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Bon bah je te dis re-bienvenue du coup, même si techniquement c'est le même personnage, et bon courage pour le remaniement de ta fiche ! Billie M. Wilson ♥ I'm not scare to die. I'm scare that death catch me before I had to live. 208390547

Billie M. Wilson ♥ I'm not scare to die. I'm scare that death catch me before I had to live. 208390547

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Merci beaucoup. Ma fiche devrait être terminée d'ici deux ou trois heures.

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Bon retour parmi nous :D

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Je te re-valide donc, j'aime toujours autant ton style ! *-*

Welcome to London !

Ton personnage a été officiellement validé, tu peux donc à présent te lancer à corps perdu dans le rp (et le flood) ! Pour cela, nous te conseillons tout d'abord de te créer une fiche de liens et de rps, mais tu peux également faire une demande de logement si tu as besoin d'un toit, et n'oublie pas de faire recenser ton métier par ici ! Enfin, il n'est jamais inutile d'avoir le règlement bien en tête, et si tu as des questions, n'hésite pas à les poser par ici, ou à nous mpotter, nous ne mordons pas ! Bon jeu à toi ♥

**Messages** :

Merci beaucoup Esther et John!

I'm on this case I know you

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