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 Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.

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Sebastian Moran
Sebastian Moran

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En service depuis le : 18/12/2014
Localisation : Londres. Plus ou moins.
Métier : Sniper sans patron.
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MessageSujet: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyJeu 18 Déc - 1:16



Sebastian Moran
ft Craig Parkinson.
Présente toi

Je m'appelle Sebastian Moran, je suis né le 25 Juillet 1971 à Londres. J'ai donc 43 ans. Dans la vie je ne suis plus que l'ombre de moi-même. Sinon je suis célibataine, et non disponible, vous y croyez ? Je fais partie des criminels car c'est ce qui me définit le mieux. On me dit souvent que je ressemble à Craig Parkinson mais quand je me regarde je ne trouve aucun air de ressemblance...
TLBB

Tout d'abord, mon personnage est un scénario. J'y tenais, parce que Sebbynounours je l'aime et que je cherchais un endroit où le jouer depuis très longtemps ! Je m'appelle Oriane, j'ai 17 ans. Je suis en Terminale L, je vais bientôt passer mon BAC et ensuite partir en license d'Histoire, pour faire Prof". Ou Archéologue. Ou un truc avec de l'Histoire quoi x) J'ai découvert la série Sherlock il y a deux ans maintenant, je l'aime, au point d'écrire dessus, je l'avoue. Je suis une grande shippeuse de Mormor, et je me suis dit que jouer Sebby sans son Jim, ça allait le faire mais trop ! Du coup me voilà.



Somethings about me.



"Lâche cette bouteille."

Seb' lança un regard noir au barman. C'était son deuxième avertissement en quelques secondes, et il n'était pas prêt à coopérer. Il préféra l'ignorer, continuant sa consommation. L'homme poussa un soupir d'exaspération, et lui arracha des mains. Sebastian se mit à gronder, l'orage était en approche. Personne n'osait jamais rien lui refuser. Personne n'avait eu encore la stupidité de le faire en tout cas. Il faut dire que son bon mètre quatre vingt dix et son tas de muscles n'amenaient guère la sympathie. Le barman lui fit une révérence en lui indiquant la porte, avec un petit sourire mauvais. Sebastian lui passa devant, sans un regard. Il était ivre, ses réactions imprévisibles.

"Ivrogne."

Sebastian se stoppa. Il ferma un instant les yeux et poussa un long soupir. Il lança un regard sombre, à la limite de l'effrayant au barman qui détourna le regard, génê. C'était toujours comme ça que ça finissait. Sa carrure imposait le respect, et ses yeux pouvaient faire taire quelqu'un d'un regard. Et il était très fort pour la bagarre, comme en témoignait les nombreuses cicatrices recouvrant son corps.

"Dé... Désolé." marmonna le commerçant, visiblement effrayé par le regard perçant de Sebastian toujours posé sur lui. L'ex militaire serra convulsivement ses poings, hésitant entre le tuer et en rester là. Il avait déjà assez de problèmes comme ça. Résigné, il tourna les talons et quitta la taverne.

Il n'était pas mauvais, dans le fond. Il était simplement devenu fort. Mentalement, physiquement. C'est ce qu'il se passe quand on croise un jour la route de James Moriarty. Sauf que voilà. Il était mort. Et son coeur était rempli d'un grand vide. Un vide qu'il comblait au mieux par l'alcool. Ce soir là, il s'endormit sur un banc, au milieu de la nuit. Ce soir là, il se promit de tuer le prochain qui prononcerait le nom qu'il refusait de dire depuis des semaines.

Et il s'endormit.



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Sebastian Moran
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyJeu 18 Déc - 1:17


Tell me your story.



I. Childhood.

Augustus Moran faisait les cent pas dans la salle d'accouchement. Les infirmières et la sage-femme étaient en train de s'affairer autour d'Isabelle, celle qui avait partagé sa vie pendant quelques mois. Suffisamment longtemps en tout cas pour qu'elle tombe enceinte de lui. Mais voilà, ils s'étaient quittés, et sa visite n'avait rien de commune, si on peut réellement appeler un accouchement "commun". Ce n'est pas lui qui souffrait sur le lit. Ce n'est pas lui qui hurlait à s'en arracher les cordes vocales tandis qu'un petit être descendait vers le jour nouveau.

Une dernière poussée. Un bout de tête, puis un corps. Et un cri de bébé suraigu, exprimant la première rentrée d'oxygène dans ses poumons tous neufs. On le secoue, on le ballote, et on finit par le mettre dans les bras d'Isabelle, enroulé dans une serviette bleue déjà salie par le sang recouvrant le bébé.

"C'est un garçon, annonça joyeusement la sage-femme. Comment est-ce que vous allez l'appeler ?
- Sebastian, répondit Augustus d'une voix neutre, presque trop indifférente. Sebastian Augustus Moran."

L'infirmière griffonna le nom complet sur l'attestation de naissance, puis demanda au tout nouveau père de signer, ce qu'Augustus s'empressa de faire, nerveux. Puis il se tourna vers Isabelle. La jeune maman serra un peu plus son enfant contre elle, en secouant négativement la tête, sachant déjà ce qu'il allait dire. Elle le suppliait du regard.

"Auguste... Je... J'ai changé d'avis. Je veux le garder. Laisse-moi ça, je t'en supplie. Je... Je trouverai l'argent pour l'élever, mais ne le prends pas.
- On a un accord Isabelle. Je prends le bébé et je disparais de ta vie. C'est aussi simple que ça. C'est toi qui a choisi l'arrangement."

Les larmes commençaient à monter aux yeux de la jeune femme. Elle ne devait pas craquer, pas devant lui. Il prendrait un plaisir à l'enfoncer un peu plus.

"Tu pourrais rester avec moi, Auguste.
- Jamais. Pas après ce que tu m'as fait. Tu n'as que vingt ans. Mon fils ne tombera jamais entre les mains d'un quelconque bâtard de banlieue. Il a un avenir, lui."

Isabelle renifla. Elle n'avait pas le choix, elle le savait bien. Et elle n'avait pas les moyens d'élever ce bébé. Lui, si. Doucement, elle leva son enfant à hauteur de visage et l'embrassa sur le front. Le bébé se mit à s'agiter, piaillant doucement sous les lèvres humides de sa mère.

"Promet-moi que tu t'en occuperas bien. S'il te plaît Auguste.
- Je te le promets."

Lentement, elle tendit l'enfant à la sage-femme qui attendait sa réponse. Elle prit l'enfant et l'emporta hors de la salle, insensible aux pleurs de la mère, à qui on arrachait celui qu'elle avait porté pendant neuf longs mois, pas tous beaux. Augustus suivit le mouvement, avant de se stopper, à l'entrée de la chambre.

"Adieu Isabelle.
- Adieu. Prends bien soin de Sebastian. S'il lui arrive malheur, je te promet que je te retrouverai et que je te ferai la peau.
- C'est ce qu'on verra."

Ce fut la première et dernière fois que Sebastian Augustus Moran vit sa mère. Et il n'eut comme souvenir d'elle qu'une simple photo volée dans un tiroir, cachée entre ses cahiers de cours.

******

Sebastian patientait dans le hall du manoir, trépignant. La porte s'ouvrirait d'une minute à l'autre sur son père, il ne pourrait plus reculer cette fois. Son but ? Obtenir l'autorisation d'aller à un fête d'anniversaire, d'un de ses "amis" du collège. Il avait treize ans maintenant, dépassait largement les autres que ce soit en taille ou en intelligence, et il s'ennuyait à mourir en cours. Parce que tout ce qu'on lui enseignait, il l'avait déjà appris tout seul.

Il était déjà trilingue, il faut dire que l'influence du père du jeune garçon y était pour quelque chose. Anglais, français, allemand, et l'espagnol était en cours d'apprentissage. Il n'aimait pas spécialement ça, mais il faisait avec. Son seul point faible était l'activité sportive, où, il fallait le dire, il n'avait clairement pas le niveau. Son père le prédestinait déjà à de grandes études dans le droit ou la médecine. Deux choses qu'il détestait plus que tout. S'il y a bien une chose qu'il ne voulait pas, c'était finir comme son père, peu importe les circonstances.

Le seul problème, c'était le comportement violent de son père à son égard. Depuis quelques mois maintenant, il avait commencé à boire, et chaque jour était une épreuve nouvelle pour Sebastian. C'est pour cette exacte raison qu'il le craignait. Ou qu'il arrivait de temps à autre avec un cocard au collège. Et le pire dans tout ça, était l'indifférence totale des personnes qui l'entouraient. Aussi bien ses professeurs que ses supposés "amis". Ainsi, son insouciance enfantine s'était rapidement envolée, laissant place à un garçon certes intelligent, mais au comportement presque ténébreux, presque effrayant.

La clé tourna dans la serrure. Sebastian s'avança près de la porte, de plus en plus nerveux jusqu'à ce qu'elle s'ouvre. L'odeur de tabac et d'alcool traversa le palier bien avant son père. Il lui lança un regard surpris, Sebastian étant d'habitude bien gentiment dans sa chambre en train de faire ses devoirs. Puis il se stoppa net à l'entrée, méfiant.

"Qu'est-ce que tu veux encore ?" lâcha t-il, menaçant.

L'adolescent déglutit, une boule indescriptible au plus profond de son estomac. Mais il était trop tard pour reculer cette fois.

"Père, je... j'aimerai bien aller à l'anniversaire de Harry. C'est mon meilleur ami et...
- Non. Tu as du travail, tu n'as plus de temps à perdre en balbuties puériles.
- Mais...
- Non. Maintenant tu montes et tu vas faire tes devoirs avant que je t'en colle une."

Sebastian ne se fit pas prier, connaissant les réactions de son père par coeur. La menace était bien réelle cette fois. Il monta précipitamment les marches puis claque la porte de sa chambre, assez fortement pour faire trembler les murs. Il resta cependant un instant à l'entrée, craignant de voir entrer son père d'une seconde à l'autre. Mais rien. Juste le silence. Alors il ne se retint pas, et se jeta dans son lit avant d'éclater en sanglots. Comme un gamin.

Son père rentra dans sa chambre deux heures plus tard, alors qu'il s'était endormi sur ses larmes. Il posa doucement sa main sur son épaule. Sebastian sursauta vivement, puis recula, effrayé, ses yeux fuyant le regard de son père. Il guettait sa réaction, alors que tous ses muscles lui hurlaient de fuir.

"Sebastian, dit-il d'une voix un peu trop gentille au goût de son fils, tu sais bien que je ne veux que ton bien, non ? Plus tard, tu me remercieras. Ce n'est pas en pleurant sur ton sort que tu deviendras un homme respectable."

L'adolescent se tendit en sentant ses doigts attraper son épaule. Il repoussa sa main d'un coup, avant de se lever, visiblement en colère.

"Tu ne veux que mon bien hein ? Alors dis-moi ! Où est ma mère ?! Pourquoi tu n'en as jamais parlé ?!
- Sebastian Moran, tu vas tout de suite changer de ton !
- Non ! J'en ai assez de tes foutus secrets ! J'en ai assez de toi !"

Sa remarque fut accueillie d'une gifle sur sa joue droite, assez violente pour que le garçon perde l'équilibre et s'écroule de nouveau sur son lit, en se tenant la joue. Il lança un regard assassin à son père, avant de se relever, de le pousser, et de fuir. Loin. Loin de la maison.

Il ne sait pas combien de temps il courut, toujours tout droit, peu importe les gens, les bancs ou les poubelles. Il était libre, et personne n'aurait plus jamais le droit de lever la main sur lui.

II. Family's troubles

Malheureusement, cette belle promesse ne tenu que trois jours. En effet, Sebastian s'était réfugié dans un vieux bâtiment abandonné et un SDF l'avait repéré. Et il avait prévenu la police, qui était à sa recherche depuis deux jours. Lorsqu'il traversa l'allée fleurie qui menait au manoir, il sut que ça n'allait pas être une partie de plaisir. Il fit mine de faire demi-tour, après tout, il pouvait espéré échapper au policier, mais l'un d'eux, le plus imposant, le forçai à avancer, par une pression régulière sur son épaule.

Son père était dans l'entrée, habillé de noir, les bras croisés et le regard fixant sévèrement son fils. Sebastian ne soutint son regard que quelques secondes, la peur de la punition reprenait le dessus. Lorsqu'il entra, son père lui ordonna de se rendre au salon, ce qu'il fit, tête baissée. Il l'entendit remercier poliment les policiers, puis la porte se ferma. L'adolescent frissonna malgré lui. Augustus s'était stoppé à l'entrée de la pièce, toujours silencieux. Il finit par pousser un long soupir avant d'entrer.

"Mais qu'est-ce que je vais faire de toi...
- Père, je... je suis désolé, balbutia Sebastian, les mains tremblantes sous la peur.
- Je sais. Mais c'est de ma faute. Tu peux aller à cette soirée d'anniversaire."

Sebastian leva un regard d'incompréhension totale vers son père. Quoi, c'était tout ?

"Oh, ne t'inquiètes pas, tu es puni, mais on verra ça demain. Allez, file."

Oui, il se disait bien aussi. Sebastian obéit et monta se changer. La soirée était le soir-même.

******

Deux semaines plus tard, Sebastian avait repris les cours. Il n'avait eu qu'une interdiction de sortir pendant un mois, ce n'était pas non plus la mort. Les relations avec son père semblait s'être arrangées avec les jours. Il ne craignait plus de se faire frapper en rentrant. Un déclic avait dû s'opérer en le voyant fuguer. Sebastian était devenu un génie en cours, même le sport commençait à bien lui plaire, il avait atteint un niveau presque parfait.

Le seul problème, c'est que tout génie a un point faible. Et pour le coup, c'était les autres élèves. Face au travail accompli, les autres commencèrent à l'insulter. Les bagarres étaient de plus en plus fréquentes. Et ça se poursuivit au lycée. Cependant, rien ne l'empêcha d'avoir son BAC avec mention très bien, attisant la convoitise des autres, puis d'aller étudier à la prestigieuse université d'Harvard, avec le soutien de son père.

Les débuts furent difficile, mais il pouvait compter sur le soutien de son père, qui, pour une fois, lui servait à plus que porte-monnaie. C'est lors d'un forum de métier que lui vint cette idée. Le métier lui plaisait, ce qu'il offrait aussi. Il envoya une lettre à son père, qui lui répondit positivement. Le jour-même, il était pris.

Une semaine plus tard, Sebastian Moran retournait en Angleterre, récupérer quelques affaires. Son père lui arrangea le trajet. Le soir-même, il s'envola pour l'Afghanistan.

III. Army.

"Moran ! A droite !"

Sebastian traça dans la direction désignée par son soldat. Ce salaud ne lui échapperai pas. Ca faisait déjà pas loin de dix ans qu'il était soldat. Enfin "soldat". Il avait monté rapidement en grade, actuellement, il était colonel, et avait un escadron sous ses ordres. Les débuts avaient été un peu compliqués, mais il avait fini par trouver sa place. Il s'était même fait des amis, ce qui était plus que rare dans son contexte. Il n'avait plus de contacts avec son père, depuis bien trois ans, mais il n'en avait plus besoin. Il était un jeune adulte épanoui désormais, et il se portait comme un charme. Ce qui lui plaisait le plus, c'était qu'il n'y avait plus ces différences entre "intellos" et "gens de bas niveaux". Ils étaient tous pareils, tous dans la même galère. Sebastian avait inculqué cette discipline à tous les nouveaux qu'il avait reçu sous ses ordres, et, en retour, tous lui témoignaient un certain respect. Ce n'était pas plus mal.

La mission du jour était de stopper un terroriste en fuite depuis deux jours. Sebastian et son groupe avait réussi à diviser leur cellule. La plupart avait réussi à être arrêtés, le chef y compris. Il n'en restait plus que trois. Un avait été attrapé ce matin, un était poursuivi en ce moment même par Sebastian et le troisième était porté disparu, présumé mort dans l'explosion de l'entrepôt. Ce salaud était rapide, mais Sebastian avait encore de la réserve. Il était à cinquante mètres devant lui, et il lançait de temps à autre des regards haineux vers le colonel, lui faisant perdre de précieuses secondes d'avance.

Il ne restait qu'un petit fossé entre eux. Pas grand chose. Un bond et il l'aurait eu. Il n'avait juste pas prévu ce deuxième homme embusqué. Ni la balle qui lui traversa la poitrine de part en part. Sebastian tira dans un acte désespéré et atteignit sa cible à la jambe. Puis il s'effondra. La dernière chose qu'il entendit, ce fut les soldats l'entourant en lui hurlant de rester éveillé.

******

"Colonel Moran ? Vous m'entendez ?"

Sebastian grogna en repoussant la main qui lui touchai le visage. Il voulait dormir, et surtout qu'on lui foute la paix. Des rires résonnèrent autour de lui, le forçant à ouvrir les yeux sous la curiosité. La majorité de ses soldats étaient là, sourire moqueur au lèvres, et un homme était penché au dessus de lui. Il ne l'avait jamais vu, mais sa réputation le précédait. Sebastian tenta de se relever, mais ce fut une douleur lancinante qui vint à la place. Il serra les dents.

"Watson, c'est ça ?" demanda t-il faiblement. Le médecin hocha la tête, alors que Sebastian lui lança un regard inquiet, voir paniqué. "Je vais pas être rapatrié, hein ? J'vais bien... Je vais... Me lever."

Sebastian fit un effort surhumain pour s'asseoir, mais plusieurs mains de soldats le forcèrent à se recoucher. Le colonel se mit à se débattre, en beuglant qu'il allait bien, qu'il ne voulait pas qu'on le touche, et surtout, surtout qu'on ne le renvoie pas en Angleterre. Puis on lui planta une seringue de calmants pour qu'il se taise, et il se rendormit.

Quelques heures plus tard, il se réveilla, un peu plus calme. Il n'y avait plus que le médecin dans la pièce. Un rapide coup d'oeil à l'horloge lui indiqua qu'ils devaient être sur le champ de bataille.

"Vous avez eu chaud vous savez." Sebastian sursauta. Watson le dévisageait, depuis sa chaise, dans un coin de la chambre. "Ils sont rares ceux qui s'en sortent d'une balle dans la poitrine.
- C'est quoi votre prénom ?
- John.
- S'il vous plaît, dites leur de me garder. Je... J'arriverai pas à retourner dans la vie civile.
- Ca ne dépend pas de moi."

Sebastian soupira, mal à l'aise dans ses bandages. La douleur reprenait le dessus. John s'était levé, il réajusta un truc sur sa perfusion. Au même moment, la tente s'ouvrit sur deux militaires. Le colonel pressentit ce qu'ils allaient dire.

"Colonel Moran ? Le conseil a voté. On vous rapatrie ce soir."

John lui lança un regard compatissant. Sebastian, lui, se mit à hurler des insultes. Mais rien n'y fit. Le soir-même, on l'amena à l'aéroport. Deux heures plus tard, il s'envolait vers Londres.

IV. Back into London.

Sebastian se réveilla dans l’avion. Cette fois, il était trop tard pour taper du pied. Les paysages afghans défilaient par le hublot tandis que l’avion entamait sa montée. Il était silencieux, bien plus que d’habitude. Dans quelques heures, il serait de retour chez lui. Il ne voulait pas revoir son père. Pas tout de suite en tout cas, il ne s’en sentait pas capable. S’il avait été prévenu, il devait être la risée de la famille à l’heure qu’il était.

Un film l’endormit le reste du trajet, et il arriva tranquillement à Londres. On l’emmena directement à l’hôpital de Londres pour le soigner un peu mieux, à coup de morphine et de bouffe dégueulasse. Mais il n’avait pas prévu le fait qu’il n’avait pas un sou. Certes, il aurait pu retourner chez son père, mais il tenait à son indépendance, et il ne voulait pas être contraint de devenir homme d’affaire juste parce qu’il en avait les capacités. Après ce qu’il avait vécu, la vie calme, ce n’était pas pour lui.

Il sortit de l’hôpital une semaine plus tard, avec une petite bourse de l’armée. Elle tint bon quelques semaines, assez pour qu’il puisse se nourrir. Il dormait dehors, il avait déjà connu bien pire. Mais vint le jour où il ne resta plus rien. Au début, il se mit à fouiller dans les poubelles, mais il découvrit bien malgré lui que les gens prennent un malin plaisir à écrabouiller ce qu’il mange afin que les SDF n’en profitent pas. Chose positive, les flics n’avaient pas encore eu la bonne idée de le coffrer.

Puis vint cette année 2009. Et cet homme étrange qui bouleversa à jamais la vie de Sebastian.

V. Jim

Ca devait faire vingt minutes que Sebastian se baladait. Peut-être un peu plus au fond. Il avait remarqué qu’un homme le suivait, d’au moins deux têtes de moins que lui, dans un costard visiblement hors de prix. L’ex-colonel avait bien tenté de le semer, en zigzaguant entre les ruelles, mais l’inconnu continuait son manège, comme s’il savait exactement où il allait aller. Au bord de la crise de nerf, Sebastian l’attendit au bout d’une ruelle, le regard noir. L’homme en costard finit par s’approcher lentement, un sourire assez effrayant collé au visage.

« Qu’est-ce que tu me veux bordel ? siffla Sebastian entre ses dents, mauvais.
- Et bien…
- QU’EST-CE QUE TU ME VEUX ?!
- Je vous veux vous. »

Sebastian le regarda, perturbé. Comment ça il le voulait ? C’était quoi encore cette connerie ? Une caméra cachée ou un truc dans le genre ? Ou bien c’était son père qui l’envoyait ? L’inconnu s’étira, comme lassé de la situation.

« J’ai besoin… D’un sniper, dit-il d’une voix neutre. Pour couvrir mes arrières. Je mène une vie assez compliquée, pas mal d’ennemis et tout ça. Ca vous dit ?
- Qui vous a dit que j’étais sniper ?
- J’ai des yeux partout dans Londres. Je sais que vous n’avez pas d’argent aussi. Alleeeeeez, venez, on va bien s’amuser. »

Sebastian fit mine de tourner les talons. C’était encore un cinglé. L’ignorance était le maître mot. L’inconnu claqua des doigts, et deux points rouges se levèrent à la hauteur de poitrine du colonel.

« Ce n’est pas très poli de partir comme ça, dit-il d’une voix sombre.
- Vous êtes qui ? Pourquoi moi ?
- James Moriarty. Mais appelez-moi Jim. Le métier est bien payé, vraiment, et je vous offre l’appartement. »

L'inconnu lui tendit un bout de papier, une carte, à en juger par la taille de ce papier. Sebastian le prit en soupirant, si ça pouvait le débarrasser de ce malade, il était partant. Il lança un rapide coup d’œil au papier, avant d'hausser un sourcil.

James Moriarty,
Criminel Consultant, le seul et l'unique.
Préparation de meurtres à intérêts communs.
Nous faisons le mal, et nous le faisons bien.

"Criminel consultant ? C'est quoi ça ?
- Et bien... On me consulte. Pour commettre des crimes. C'est plutôt clair.
- Vous commettez des crimes ? Et vous voulez que je vous aide ?
- Exactement.
- Ecoute mec, je suis pas un criminel, trouve quelqu'un d'autre."

Il se rappela néanmoins les points rouges, sur sa poitrine. Sebastian se mit à observer le haut des immeubles. Il les repéra facilement, beaucoup trop facilement. Il se mit à rire.

"Si c'est eux vos snipers, ils ont besoin d'aide. Le but c'est de rester caché. Là, on les voit."

Le dénommé Jim lança un regard agacé à ses agents. Il les vit retourner dans l'ombre, et les points disparurent. Il se mit à réfléchir. Il avait besoin de travail, c'était indéniable. Mais de là à devenir un criminel ? C'était tentant, il sentait le sang battre dans ses veines sous l'excitation. Il voulait se mettre en danger, tuer des gens, ça lui manquait. Vraiment.

"Admettons que j'accepte. Je dois faire quoi exactement ?
- Et bien... Comme vous avez déjà combattu, je vais vous passer les détails. Comme vous venez de le voir, la plupart de mes snipers sont incompétents. Une mise à niveau, et ils sont tous sous vos ordres. Enfin sous les miens officiellement, mais c'est vous qui transmettrait les ordres."

Retrouver une équipe, entraîner des gens, tuer. Ce n'était plus seulement un besoin, c'était un cri au plus profond de lui-même. Au fond, Jim devait savoir qu'il accepterait depuis le début. Mais voilà, maintenant, c'était certain.

"D'accord. J'accepte. Mais... J'ai pas d'adresses, rien.
- Je vous l'ai dit, je vous offre l'appartement.
- Le vôtre ?
- Oh. Tous les appartements de mes hommes sont mes appartements. Ca me donne... du pouvoir. Et je porte très bien la couronne."

Sebastian secoua la tête. Ce mec était vraiment étrange. Il lui tendit la main, que le sniper s'empressa de serrer.

"Rendez-vous demain à sept heures pétantes. Ici. Je me charge du transport à la base, dit Jim, en souriant.
- A demain, "patron.""

Jim sourit, amusé, puis il disparut dans une ruelle, le laissant seul.

VI. New Job

Le lendemain matin, à six heures trente, Sebastian attendait dans la ruelle. Il avait peu dormi, totalement excité. Pour une fois, il n'avait pas non plus eu faim. L'hamburger à moitié mangé qu'il avait trouvé ne l'avait guère conquis. Depuis deux bonnes heures maintenant, le sniper tournait en rond, faisant les cent pas en continuant à lancer des regards nerveux à sa montre.

Soudain, il fit tout noir. Sebastian en conclut rapidement que quelqu'un lui avait mis un sac sur la tête. Il se mit à se débattre, envoyant des coups de poings et de pieds dans les airs. Il toucha un de ses agresseurs au ventre, ou plus bas, à l'entendre geindre comme une fillette. Puis on lui planta une aiguille dans le cou, et il finit par dormir, en continuant tout de même à grogner, pour bien montrer qu'il n'était pas content.

******

Sebastian cligna des paupières. Il était dans un canapé, une couverture le recouvrant. Il tenta de se lever. La pièce tournait, et il décida rapidement que couché, c'était mieux après tout. Un toussotement lui indiqua que quelqu'un se trouvait dans la pièce. La pièce s'avérait être un bureau, et James Moriarty y était installé, pieds sur la table, un sourire moqueur aux lèvres. Sebastian se releva, perplexe, la vision lui tournait encore un peu, mais il ne voulait pas paraître faible devant son nouveau patron.

"D'habitude, ils mettent plus de temps pour se réveiller, je suis impressionné, "Sebby".
- Sebastian, s'il vous plaît."

Jim se leva à son tour, puis lui tendit un dossier, où une photographie avec notée "Cible" en dessous était affichée. Sans un mot, il retourna à son bureau, puis en sortit une mallette assez imposante.

"Votre arme. Je l'ai payé cher, ne le perdez pas.
- Des informations sur la cible ?
- Oh. Je l'ai envoyé en mission. C'est vous sa cible."

Sebastian tiqua. Quoi ?

"Pardon ?
- C'est simple pourtant. Vous vous entretuez, celui qui gagne devient mon bras droit."

Sebastian abandonna les questions et se rendit à l'adresse indiquée. Il sentait les caméras sur lui. Son patron devait avoir accès à tout ce qu'il se passait, peut être même aimait-il ça, qui sait ? Sa cible s'avéra être un connard. L'homme lui sauta dessus, depuis le toit. Ils roulèrent tous deux un moment au sol, en grognant, puis Sebastian réussit à le maîtriser. Et commença à le frapper à la tête. Une fois, plusieurs fois, assez pour le tuer. Il ne restait plus énormément de choses de son crâne, en fait.

Peut-être bien une des raisons pour laquelle personne n'a jamais osé lui désobéir pendant toutes ces années de travail. Une fois ce petit test passé, il s'avéra que Jim n'était pas un monstre, mais un homme normal. Enfin... La normalité ne semble pas toucher les grands esprits, en particulier quand il a un but.

VII. Holmes

Ca devait faire un an et demi que Sebastian travaillait pour Jim, quand on commença à parler de Holmes à la télévision. Il s'en foutait pas mal, préférant son travail de garde du corps/sniper/bonne à remplir les paperasses avec son patron. D'ailleurs, il s'était énormément rapproché de lui, au point qu'ils deviennent complémentaires. De temps à autres, Sebby prenait même quelques libertés, qui plaisaient (ou non) à Jim. Une fois, ils étaient tellement bourrés devant un match Irlande/Angleterre qu'ils avaient même semer leurs vêtements un peu partout et avait atterris dans un lit. La surprise des deux hommes au réveil avait été... Embarrassante. Il préféra oublié ce petit accident pour se focaliser sur son travail. Une chose était sûre, les choses avaient changé entre eux. Jim devint plus pot de colle, plus protecteur. Ce qui ne plaisait pas forcément aux autres snipers, qui, ne le cachons pas, pour la moitié voulait coucher avec. De toute manière, rares sont ceux qui survivaient plus de trois semaines dans le métier. Tuer n'est pas une chose facile, et entre les flics, les accidents et les autres criminels, il est assez simple de se faire une nouvelle place.

L'affaire Holmes ébranla Jim à un point impossible. Sebastian l'avait de suite remarqué. Il commença à vouloir jouer avec. Puis il organisa un petit jeu pour occuper l'esprit de Sherlock. Bien sûr, pour lui, c'était facile, il se contentait d'envoyer les messages. Sebastian, lui, il courrait à droite à gauche avec ses explosifs, les mettait sur les gens, puis leur collait une arme sur la tempe, et les faisait lire. Et pendant ce temps, Jim était dans sa banquette, les pieds sur le bureau en train de lui aboyer des ordres. Comme d'habitude, en fait. Que voulez-vous, Jim reste Jim.

C'est quand il y a eu le rendez-vous à la piscine que ça s'est compliqué. Enfin, d'abord, j'ai du kidnapper John. Vous savez, celui qui l'a forcé à quitter l'armée ? Sebastian l'avait remarqué, mais l'adrénaline lui a fait ignorer ce petit détail pour se concentrer sur quelque chose de plus important, la survie de Jim. Il n'appréciait pas spécialement quand son patron se mettait à découvert. Encore moins quand ce dernier donnait son vrai nom. Les points rouges sur Sherlock, dans la piscine. C'était lui. Si ça ne tenait qu'à lui, il faut se l'avouer, le détective serait déjà mort. Une balle entre les deux yeux. Et c'est réglé. Bon, ça s'est plutôt bien passé. Presque. On a frôlé la catastrophe avec la bombe, mais un client a appelé, et Jim a immédiatement changé de cible. Quand on dit qu'il est versatile...

Enfin, "changer de cible". Juste un moyen détourner pour atteindre sa cible. La prochaine étapé, c'était détruire la vie de Sherlock, ce qu'il fit plutôt pas mal. Puis il y eut ce jour où tout bascula.

VIII. Death of a genius

"Jim ? C'est le troisième message que je te laisse. Il y a rien ici. Je fais quoi ? Merci de me rappeler, j'en ai marre de poireauter comme un con."

Le criminel avait envoyé Sebastian surveiller une maison "suspecte". Bien sûr, il avait obéi stupidement, mais il n'avait rien trouvé. Elle était déserte. Il se dirigeait vers St Bart, là où ils avaient rendez-vous à midi, téléphone à la main, essayant de contacter Jim. C'est fou comme tout peut basculer, en quelques secondes. Il y avait beaucoup de gens, en bas. Un peu trop. Et ils avaient tous la tête en l'air. Sebastian repéra immédiatement les deux personnes en haut. Jim. Et Holmes. Ils étaient proches, à la limite du "câlin". Et vint le geste que Sebastian n'oubliera probablement jamais. Jim qui sort une arme. Qui la met à sa bouche. Et le coup de feu. Ce coup de feu qui résonna dans la tête de Sebastian pendant de longues secondes. Il ne resta même pas pour assister au "suicide" de Sherlock. Il grimpa les escaliers de secours quatre à quatre, le coeur battant à tout rompre, avec un seul mot dans la tête. Jim.

Lorsqu'il arriva en haut. Il se figea. Jim, son Jim, son patron, celui qui avait été sa vie, était allongé, yeux grands ouverts, sourire aux lèvres, une marée de sang autour de son crâne. Il ne sut pas quand il s'était jeté sur son corps. Il n'entendit même pas ses propres cris, de rage, de colère de tristesse. Tout était blanc dans sa tête. Et le plus dur, c'est qu'il s'obligea à abandonner le corps de Jim, la police arrivant de partout. Avec un dernier regard pour son patron, il s'enfuit.

Et il partit se réfugier à la base. Il rentra dans le bureau de Jim, et il s'effondra. Et il se mit à hurler. Pendant des heures, incapable du moindre mouvement. Puis un papier attira son regard, sur le bureau. Avec son nom écrit en gros dessus. Le coeur battant, il ouvrit l'enveloppe, et commença à lire.

Sebby.

Si tu lis ces lignes, c'est que je suis mort, comme c'était prévu. Je sais, tu aurais aimé être prévenu, tu m'en aurais empêché. Mais je ne pouvais pas me résoudre à te le dire. Parce que je suis un lâche, et que j'avais peur de ta réaction. Tu sais, quand on passait des soirées entières, tous les deux, je n'arrivais pas à qualifier ce qui se passait. Maintenant je le peux, et je sais que c'est la même chose pour toi.

Ne pleure pas pour moi. Je ne suis qu'un abruti, crétin. Insulte moi de tous les noms que tu veux pendant des années et des années. Je te pardonne. Ne reprends pas ce que j'ai laissé, ça ne sert à rien, tu vas t'attirer des problèmes pour rien. Mais fais juste une chose pour moi. Juste une chose. Si Holmes survit, tue-le pour moi. Fais lui payer le jour où il est né.

Oublie-moi. Je n'étais pas assez bien pour toi, ou peut être trop idiot pour m'en souvenir.

Je t'aime.
Jim.


Sebastian sentit les larmes couler le long de ses joues. Il rangea la lettre dans sa poche, puis récupéra quelques affaires qui lui appartenait, ainsi qu'un des costumes de Jim. Et il quitta Londres, le temps que les choses se calme.

IX. Revenge.

Deux ans plus tard. L'information tombe aux journaux. Sherlock Holmes n'est pas mort. Des cris de rages, de colère. Sebastian en route pour Londres. Il n'est plus que l'image de lui-même, alcoolique, se droguant de temps à autre. Mais avec une mission bien précise en tête : Sherlock Holmes doit mourir.



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Jarod Anderson
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyJeu 18 Déc - 8:40

Ah ! Un Moran !

Bienvenue à toi, content de voir ce personnage joué !

Prends ton temps pour ta fiche et au plaisir de croiser la plume avec toi ! Si tu as la moindre question, le staff est là pour toi =)
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Jazz MacCloud
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyJeu 18 Déc - 14:52

Avec Moran dans la place, ça va swinguer ! Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. 324581347
Bienvenue et bon courage pour ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyJeu 18 Déc - 16:50

Merci tous les deux :D
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyJeu 18 Déc - 22:34

Yay, l'éduc' spé de Misfits !
Welcome on board Wink
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyVen 19 Déc - 6:15

Merci :D
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Jazz MacCloud
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyVen 19 Déc - 9:03

Hahahaha, je vois que tu aimes écrire de longues histoires ^^ comme moi.... Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. 1779901633 Je me sent moins seule...
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyVen 19 Déc - 17:48

Oui, et le pire c'est que j'ai déjà 6 pages papier rien que sur la première partie XDD Mais les longues histoires, c'est le bien :3
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Jazz MacCloud
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyVen 19 Déc - 18:07

Hahaha, ça dépend de l'histoire et de l'écrivain ! Mais j'avoue qu'en général, on a pas trop à se plaindre ^^
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyDim 21 Déc - 12:47

Oh oui, Moran Moran!!

Bienvenue chez nous darling! Au plaisir de te croiser!!
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyDim 21 Déc - 13:44

Merci Ashley Smile
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyDim 21 Déc - 15:45

    Hawwn j'admire ce choix de personnage ! *w*
    J'ai vraiment hâte d'en découvrir d'avantage ! <3
    Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. 2806429274 Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. 2990636004
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyDim 21 Déc - 16:25

Merci Lysander :D
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Sebastian Moran
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyMar 23 Déc - 13:41

Hum... Est-ce qu'il est possible d'avoir un petit délai ? Vu qu'il y a Noël qui arrive, ça va être chaud pour finir dans les temps ^^
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Jarod Anderson
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyMar 23 Déc - 19:10

Bien sûr, bien sûr, aucun souci ! On comprend tout à fait, prends ton temps =)
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Sebastian Moran
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptySam 27 Déc - 9:41

J'essaye de finir la fiche d'ici mercredi ^^
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Iris Wood
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyMar 30 Déc - 16:14

Hâte de voir cette fiche terminée, ça a l'air vraiment prometteur !
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Rosy Wills
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptySam 7 Fév - 21:32

Oh là là, je fonds totalement ! Bien que je n'aime pas les méchants, je fais une petite exception. Moriarty et Moran sont deux personnages qui m'intéressent vraiment. Craig Parkinson, l'avatar que tu prends, est sexy ! Il me donne envie de le connaître. De plus, tu as un très bon - et beau - style d'écriture. L'histoire de Moran m'a sérieusement captivée. Ça serait vraiment cool qu'on ait un lien !

Bonne chance pour la suite ! (:
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Sebastian Moran
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyDim 8 Fév - 11:02

Ouah, j'ai eu peur de tout devoir refaire, vu que j'ai eu une magnifique coupure internet entre temps, ravi de voir que ma fiche est toujours là \o/ Je la finis au plus vite.

Et merci Rosy :3
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Sebastian Moran
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyLun 9 Mar - 19:36

Coucou, des nouvelles ?
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Jarod Anderson
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyMar 10 Mar - 12:15

Navré de l'attente, le staff a dû se concerter sur ton cas, mais c'est maintenant arrangé, je te valide dès à présent !

Welcome to London.

Ton personnage a été officiellement validé, tu peux donc à présent te lancer à corps perdu dans le rp (et le flood) ! Pour cela, nous te conseillons tout d'abord de te créer une fiche de liens et de rps, mais tu peux également faire une demande de logement si tu as besoin d'un toit, et n'oublie pas de faire recenser ton métier par ici ! Enfin, il n'est jamais inutile d'avoir le règlement bien en tête, et si tu as des questions, n'hésite pas à les poser par ici, ou à nous mpotter, nous ne mordons pas ! Bon jeu à toi ♥.


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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. EmptyMar 10 Mar - 17:53

Merci :D
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires.   Sebastian Moran :: L'important dans le meurtre n'est pas la cible, c'est le plaisir que tu en tires. Empty

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