ALEXIS ► who's that girl? (terminé)

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Alexis P. Duval
ft hannah murray.

Présente toi

Je m'appelle Alexis Pénélopé Duval, je suis née le 14 novembre 1993 non loin de Paris. J'ai donc 21 ans. Dans la vie je suis une éternelle étudiante. Sinon je suis célibataire., vous y croyez ? Je fais partie des Londoniens car c'est ce qui me définit le mieux. On me dit souvent que je ressemble à hannah murray mais quand je me regarde je ne trouve aucun air de ressemblance...

Gué

Keukou. Moi c'est Gué. J'ai 20 ans, et je souffre du symptôme de Mary Sue. /PAN ... Pardon. Bon. J'adore Sherlock, et j'avais vraiment envie d'évoluer dans un univers où il y aurait des meurtres et détectives de tout les côtés. Sinon, j'me suis inscrite sans même être sûr que ce forum soit vraiment actif parceque... Et bien, c'est le seul que j'ai trouvé.

Somethings about me.

Complexe. C'est le premier terme dont j'userais pour me définir. Je n'étais jamais parvenue à me décrire clairement puisque j'étais presque entièrement constituée de paradoxes. Comme une éternelle adolescente qui chercherait encore et toujours qui elle était vraiment. Le fait est que je connaissais le comment du pourquoi. Pourquoi j'étais comme ça, pourquoi je pensais de cette façon, pourquoi j'agissais de tel manière. Je pouvais analyser chaque partie de moi-même, si je prenais le recule nécessaire. Objectivité. Cela aurait très bien pu être mon deuxième prénom. J'avais cette capacité à me détacher de tout. De moi, de la vie, des à priori, des idées reçues, et des conventions sociales.

J'avais horreur des conventions sociales. Je ne comprenais pas comment certains pouvaient s'y attacher à ce point, alors qu'il ne s'agissait là que de pures inventions qui divergeaient selon les points de vue. Il en valait de même pour l'autorité. Parents, professeurs, ou présidents, ils restaient tous humains. Je ne voyais aucune raison de leur montrer du respect si ce n'était pas réciproque. Un "titre" dérisoire n'en faisait pas de meilleures personnes pour autant. J'avais, en effet, un certain dédains pour l'autorité. Ainsi que pour les relations amoureuses, je crois bien. Ou peut-être en étais-je simplement incapable. Mais cela m'importais peu puisque de toute façon, j'ai tendance à éprouver des sentiments uniquement pour des personnages fictifs. Eux au moins ne sont pas tous stupides. Puis d'une certaine manière, cela me protège du risque d'être en couple.

A dire vrai, j'ai toujours été une personne solitaire. Non pas par dépit, mais par choix. J'aime être en ma seule présence, j'aime le calme, et j'aime l'idée de pouvoir me plonger dans mes pensées sans personne pour en interrompre le fil. Je trouve parfois la compagnie d’autrui déplaisante, c'est vrai. Si je devais analyser objectivement mon comportement, je dirais que quelque part, je pense être supérieure à eux. Que leur présence n'est pas une nécessité et souvent une gène car je me suffis à moi-même. Je n'aime pas parler pour ne rien dire, préférant observer, et les conversations banales m'ennuient. Je ne pense pas être un génie, mais je me dois d'être réaliste : ma manière de penser est différente des autres, et très peu le comprenne. Par exemple, ils ne comprennent jamais que si je dis quelque chose, ce n'est pas sensé les blesser. Ci ce n'est que la vérité, pourquoi ne pas simplement l'accepter comme étant un fait?

Ils disent que je suis trop franche. Je vois juste les choses différemment, ce n'est pas pour autant que je fais souffrir les gens. Au contraire, je suis même des plus empathiques, c'en est presque maladif. Ce recul constant vis à vis de moi-même me permet de me mettre à la place d’autrui. J'imagine alors facilement leur mode de pensé, j'analyse leur personnalité, et comprend leurs sentiments. Autant dire que je pleure souvent, mais cela n'a pas que des désavantage. Comprendre quelqu'un signifie pouvoir prévoir ses réactions, et donc, le manipuler. C'est parfois très utile.

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Tell me your story.

C'est dur de parler du passé. Pour moi, en tout cas, cela relève du plus gros des défis. J'aime montrer à quel point je suis spéciale, à quel point j'ai été forte durant toutes ses années. Pourtant, cela n'en reste pas moins difficile, encore moins lorsque l'on est maladivement introvertie.

Mais cette introversion, elle n'est pas apparue toute seule. C'est généralement ce qui arrive lorsque tu n'as personne à qui parler de ce que tu ressens, que personne ne te comprend, et que vous ne pouvez compter que sur vous même. C'est ce qui arrive lorsque ton père est un alcoolique violent qui boit pour oublier la maladie de son fils. Et, c'est ce qui arrive lorsque ta mère met toute son énergie à sauver la vie de son plus jeune enfant. Dans un environnement aussi malsain, comment aurais-je pu devenir quelqu'un de stable? La bonne réponse est : "Je n'aurais pas pu". Vivre dans la peur de ton père, et celle du décès imminent de ton frère. Cela n'a jamais été une situation des plus confortables. Haïr ton propre géniteur, savoir qu'il t'aime quand même, le prendre en pitié, culpabiliser pour être aussi froide avec lui parce que tu es bien trop empathique, mais ne rien y changer parce que lui ne changera jamais. Puis passé une douzaine d'années en sachant que ton frère est condamné sans jamais savoir quand est-ce que "ça" arrivera, vivre dans la peur de ce moment, t'en vouloir de penser que la vie serait plus facile sans lui, et espérer chaque jour qu'un génie sortira de sa lampe pour le guérir. Mais ça n'était pas arrivé. Bien sûr que non. Les génies de ce genre n'existaient pas, et la mort l'avait simplement emporté peu avant ses 17 ans, tandis que j'allais moi-même en avoir 18.

Je me souviens de cette période comme étant la pire de toute ma vie. J'étais déjà au prise à de nombreuses crises d'angoisse depuis toute jeune, mais celles que j'avais pu faire l'année qui avait suivie étaient bien plus violentes. Les anxiolytiques ne suffisaient plus à me calmer. Je crois bien que ce n'était qu'en entrant dans une grande école de comédie parisienne que je commençais à aller mieux. J'avais toujours rêvé de devenir actrice. C'était peut-être une façon de me fuir moi-même, après tout. Mais cette école m'aidait à sortir de ma coquille, peu à peu, comme une sorte de thérapie. Puis un jour, l'occasion se présentait à moi : un programme d'échange entre Paris et Londres s'était créer pour notre école et le Drama Centre. Je n'hésitais pas un seul instant avant de saisir l'opportunité de voyager et fuir cette vie familiale des plus atroces.

Recenser son avatar :

Spoiler:

**Messages** :

Hey, bienvenue à toi ! J'espère que tu te plairas parmi nous !

Si tu as la moindre question, hésite pas, le staff est là pour te répondre =)

**Messages** :

Merci !

Nous sommes aussi en 2015 sur le forum?

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Bienvenue o/

**Messages** :

Merci !

Je pense avoir terminé ! J'ai pas beaucoup écris pour l'histoire, mais j'me suis rattrapé sur le caractère.

**Messages** :

(je ne sais pas personnellement... je pense que oui ? xD)
en tout cas, j'aime ton choix d'avatar !! bienvenue ici !

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Hannah Murray ALEXIS ► who's that girl? (terminé) 208390547

Welcome on board !

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Merci les gars~ bounce

ALEXIS ► who's that girl? (terminé) 778786311

**Messages** :

Bienvenue ma grande o/
En espérant que tu te plaises ici !

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Bienvenue, bienvenue... Et techniquement, on devrait être en 2015 oui, sinon on est encore en 2014 mais rien de bien vieux Wink

**Messages** :

Je me permets de répondre à ta question par rapport à l'année en cours. En effet, on est à l'heure actuelle sur le forum en 2014. Il est prévu que l'on passe en 2015 avec l'avancée de l'intrigue générale du contexte qui arrivera bientôt.

Concernant ta fiche, rien ne me dérange, mis à part l'empathie qui n'est pas très compatible avec le reste de la psychologie d'asociale. Il va falloir changer cela et corriger quelques fautes et ce sera bon pour ta validation =)

**Messages** :

Je vais de suite corriger les fautes.

Par contre, pardon de contredire, mais y a rien d'improbable là dedans.
C'est pas parce qu'on est asociale qu'on ne peut être empathique. Surtout que l'empathie est plutôt lié à l'imagination. Tout dépend de l'environnement dans lequel on à vécue, l'histoire, et comment on appréhende les choses. J'pense que l'être humain peut être bien plus complexe que "Oh, j'aime être seul, alors je comprend pas les gens". Rien que par exemple, dans la série Hannibal. Will Graham est une espèce de sociopathe asocial, et pourtant empathique grâce à son imagination.

EDIT : J'ai corrigé ce que j'ai pu trouver.

**Messages** :

Je pensais l'avoir fait hier, mais il semblerait que ce ne soit pas le cas. Ta fiche peut maintenant être validée.

Welcome to London.

Ton personnage a été officiellement validé, tu peux donc à présent te lancer à corps perdu dans le rp (et le flood) ! Pour cela, nous te conseillons tout d'abord de te créer une fiche de liens et de rps, mais tu peux également faire une demande de logement si tu as besoin d'un toit, et n'oublie pas de faire recenser ton métier par ici ! Enfin, il n'est jamais inutile d'avoir le règlement bien en tête, et si tu as des questions, n'hésite pas à les poser par ici, ou à nous mpotter, nous ne mordons pas ! Bon jeu à toi ♥.

Bon RP, bon jeu ! =)

I'm on this case I know you

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