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 [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN

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MessageSujet: [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN   [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN EmptyMar 29 Jan - 9:47


Petit briefing à domicile ◮ SEBSATIAN & LEXIE
La journée s'était passée bien plus vite qu'elle ne l'avait prévu initialement mais elle n'allait pas s'en plaindre après tout. Après son cours, quelques élèves étaient venus la voir pour lui demander quelques explications complémentaires sur le dernier sujet de cours, lui posant diverses questions auxquelles elle fut ravie de répondre. Certes, elle aurait de loin préféré rester au Yard mais ce poste de professeur était un bon moyen pour elle de ne pas passer ses journées à ne rien faire. On lui avait retiré son boulot mais pas sa vie. Pas totalement en tout cas. Car le retour à une vie plus "civile" dira-t-on avait pris du temps. Du jour au lendemain, il n'avait pas été facile de se lever en se disant qu'aujourd'hui on n'avait plus à se préoccuper de la sécurité des autres, mais rien que de la sienne. Qu'on ne croiserait plus, voir plus du tout certaines personnes qu'on avait côtoyer depuis des années au quotidien. Mais le pire avait été ce sentiment, celui de se sentir punie pour quelque chose dont elle ne pouvait pas être véritablement et complétement responsable. Servir de bouc émissaire, très peu pour elle. Mais un jour où l'autre elle aurait sa vengeance sur ceux qui l'avaient mis sur la touche. Pas de doute à avoir là-dessus.

Une fois le déjeuner passé, elle avait enchaîné avec un autre cours, celui-ci un peu moins agréable car il s'agissait de première année qui ne se rendaient pas encore vraiment compte qu'il ne serait pas si aisé de passer leurs examens ou leur année et qui bientôt déchanteraient. Là elle prendrait sans doute plaisir à leur faire comprendre qu'ils avaient fait une belle erreur et qu'ils devraient trimer pour suivre car les cours passeraient à un autre niveau. Sadique notre Lexie ? Un peu peut-être oui, mais c'était un sadisme bien placé dans le sens où en finalité, elle ne voulait que voir ses élèves réussir et s'intéresser comme elle à cette belle matière qu'était la chimie. Et puis si on ne pouvait même plus s'amuser un peu à martyriser gentiment quelques élèves... Bref, ce cours terminé, elle avait encore une bonne soixantaine de copies à corriger, chose qu'elle fit en un temps record en salle des professeurs, non sans au passage avalé un thé ou deux pour se donner de la force et du courage. A seize heures elle avait rendez-vous avec le doyen pour faire un point sur ses cours, son intégration au sein de l'université, simple formalité en soi mais qui lui prit tout de même une bonne demi-heure au final car ils avaient fini par discuter de sémantique et de philosophie plus qu'autre chose mais c'était plaisant de pouvoir parler de la sorte. Ça la changeait.

A présent donc qu'elle pouvait quitter le campus pour le reste de la journée, elle ne se fit pas prier et alla trouver le métro le plus proche afin de rentrer chez elle du côté d'Oxford Street. Mais elle se ravisa au final, préférant marcher jusque là-bas et profiter de l’accalmie du temps pour prendre un peu l'air. Après tout, rien ne pressait pour le moment alors elle pouvait bien s'autoriser de flâner dans les rues de la capitale. Elle s'était arrêté quelques fois devant certaines vitrines, notamment celle d'un libraire qui exposait de belles pièces en devanture. Mais aucune ne l'intéressait plus que ça, alors elle continua sa route. peut-être que la prochaine fois il aurait un livre qui l'intéresserait. Cette petite boutique recelait des trésors mais pour le moment elle avait un livre bien précis à acheter alors pas question de le voir lui passer sous le nez parce qu'elle aurait cédé auparavant. Elle continua donc son chemin et après une bonne demi-heure arriva enfin chez elle. Elle franchit le seuil de sa porte et retira son manteau pour l'accrocher au porte-manteau de l'entrée mais quelque chose clochait. Pourquoi avait-elle cette impression ? Tout simplement parce qu'elle avait passé bien trop d'années à être sur ses gardes pour avoir tout perdu en quelques mois seulement. Mais contrairement à la période où elle bossait encore à Scotland Yard, c'est qu'elle n'avait plus son arme attachée à sa ceinture. Dommage...

Elle s'avança donc doucement en direction de son salon et se détendit presque aussitôt en apercevant la silhouette de son "visiteur" mystère. « Tu as toujours le don de faire ton entrée. Enfin façon de parler bien sûr. » dit-elle à son adresse avant de déposer son sac sur un des fauteuils du salon, jouant sur les mots puisqu'il s'était introduit chez elle sans qu'elle l'y ait invité. « Mais fais comme chez toi. » ajouta-t-elle en s'asseyant sur l'accoudoir de ce même fauteuil, attendant qu'il se retourne enfin. Elle se demandait bien sûr ce qu'il faisait là. Non pas comment il était rentré. Ça, elle avait déjà son avis sur la question. Oui, c'était plus la raison de sa présence qui l'intriguait que sa présence en elle-même. Quoi que, elle devait l'admettre qu'il été loin d'être désagréable de le voir ainsi s'inviter chez elle. Mais ça, c'est une autre histoire, qui n'a rien à voir ici alors passons. Oh elle se doutait bien que s'il avait fait le déplacement lui-même ça devait être important mais quand même, elle restait intriguée quant à la raison de cette visite impromptue. Mais il ne tarderait pas à éclairer sa lanterne, ça elle en était sûre car il était plus qu'improbable qu'il ne soit venu que pour ses beaux yeux.

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MessageSujet: Re: [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN   [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN EmptySam 2 Fév - 18:03

Le Londres underground était en mouvement. Un mouvement de rébellion envers moi. Qu’ils pensent être discrets ou non m’importait peu. Ce qui m’importait et m’insupportait était le fait qu’une gamine se permette de remettre en cause mon statut. Oui, j’étais l’héritier de James Moriarty, génie criminel du vingt-et-unième siècle, parce qu’il m’avait désigné ainsi. Pas dans un testament, chose à laquelle il ne faisait pas confiance, bien trop simple à falsifier, mais parce qu’il m’avait gardé dans l’ombre tout ce temps. S’il m’avait annoncé comme étant celui reprenant les affaires s’il venait à mourir, il savait que nombre de gens tenteraient leur chance à un assassinat dans les règles. Certes je me serais bien amusé à les voir essayer, mais je comprenais la façon de penser de Jim. Garder ses meilleures cartes et atouts cachés des yeux du public. Pour la plupart des gens, je n’étais qu’un pion de plus, un sniper de plus, un inconnu. Pour Jim j’avais été un soutien, un point d’ancrage (même si insuffisant pour l’empêcher de se mettre cette balle dans le crâne) mais ça personne ne le savait et je refusais de le divulguer à ces charognards qui pensaient pouvoir avoir leur part du gâteau. Aujourd’hui, certains semblait remettre en cause ma légitimité à être le chef du réseau criminel du Royaume-Uni. Si cela pouvait se justifier en soit, leurs méthodes me donnaient envie de vomir. Aucune classe, aucun esprit…Juste une mutinerie digne d’un mauvais film de pirate avec en chef de file une féministe en couche-culotte. Ha ! Elle est belle la rébellion.

Il n’empêchait que je préférais sécuriser ma position autant que possible car même s’ils me faisaient rire avec leurs tentatives à deux pennys, rien ne disait qu’avec un peu d’aide de certains bons éléments ils n’y arrivent pas et si c’est le cas, je ne donnais pas cher de ma peau. Alors j’allais voir les éléments que je savais sûrs (pour diverses raisons) et les informais de la situation si ce n’était pas le cas ou bien leur donnais des consignes bien précises. Aujourd’hui j’avais prévu d’aller voir Alexis Mallard. Une de mes dernières recrues. Une petite victoire en soi. Elle était un peu comme moi en un sens, elle aussi avait dû quitter son travail premier alors qu’elle ne le souhaitait pas, se retrouvant sans réel objectif. Une ancienne du Yard, non moins ; si ce n’était pas une belle affaire en plus. Le Yard allait très vite regretter d’avoir laissé partir un élément comme elle. Sans dire qu’elle avait du caractère, ce qui me rassurait, en un sens. Elle avait un franc parlé qui me changeait des langues de bois qu’on utilisait autour de moi, une répartie intéressante et surtout, elle ne me craignait pas. Je tenais le réseau en ligne droite par la peur majoritairement. Je n’avais pas d’autres choix, le fait que Jim m’ait gardé dans l’ombre avait ses avantages et ses inconvénients. L’un d’entre eux étant la méfiance que m’accordaient les autres mais tant pis.

J’avais très vite pu faire un double des clés d’Alexis après l’avoir recrutée. C’est pour ça que je ne prenais même pas la peine de la prévenir quand je lui rendais visite. Autant éviter les contacts qui pourraient mener des gens mal intentionnés à elle. Car si j’avais été un soutien pour Jim, Lexie était en train de devenir le mien. Elle n’avait pas ce regard biaisé par l’habitude de « l’ancien régime », n’avait pas d’à priori quant à ma position et surtout, n’hésitait pas à me dire quand elle pensait que je faisais une grosse bêtise. Ce qui en soi arrivait peu mais arrivait tout de même, des fois. Je n’étais pas infaillible après tout. J’entrai chez elle et fis, comme à mon habitude, un tour du propriétaire. Je ne touchai à rien ou presque. Je n’étais pas là pour violer sa vie privée mais bel et bien pour l’attendre. Si son emploi du temps n’avait pas changé, elle ne devrait plus tarder. J’eu raison à quelques minutes près. Elle me remarqua vite, faisant face à sa fenêtre. Elle avait déjà un commentaire tout prêt pour moi. Comme c’est mignon. Je me retournai avec un sourire aux lèvres. Contrairement à ce que l’on pensait je n’étais pas une entité uniquement douée pour donner des ordres et grogner. John le savait mais cela était une autre histoire pour un autre jour. Je m’assis dans le fauteuil faisant face à celui d’Alexis.

"Ce qui m’amène, c’est un soucis interne. Je pense que tu as entendue parler de la montée d’une jeune femme revendiquant ma place, Dillinger. Elle serait du genre à vouloir affaiblir mes rangs. C’est pourquoi je viens te voir. Pour m’assurer que tu ne vas pas passer de l’autre côté."

Je faisais…Confiance à Alexis pour cela, mais il me fallait en être sûr. Et puis j’avais un petit quelque chose pour elle.
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MessageSujet: Re: [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN   [abandonné] Petit briefing à domicile ◮ SEBASTIAN EmptyDim 3 Fév - 17:04

Si dans le passé, comme à son entrée au Yard par exemple, on lui avait dit qu'elle en serait là où elle en était à présent, Alexis aurait rit. Parce qu'elle ne pouvait pas imaginer une seconde ce qui allait se passer. Comment aurait-elle pu le faire de toute façon ? On l'avait désignée comme bouc émissaire parce que ça arrangeait les grands patrons du Yard que ce soit elle qui prenne la sentence plutôt qu'on remette ne serait-ce qu'une seconde les méthodes du service renseignements de Sa Majesté. elle avait eut une confiance aveugle en ses pairs et voilà comment on l'avait remercié pour ses années de bons et loyaux service, comme le dit l'expression consacrée. Du jour au lendemain elle était passé de la lumière à l'ombre, des bonnes grâces de ses supérieurs à plus bas que terre. Et vu le caractère de la demoiselle, ça n'a pas été sans conséquences, vous vous en doutez certainement à présent. Il y avait eut le dénis en premier lieu. Tout ça ne pouvait pas être autre chose qu'un cauchemard, une mauvaise blague ou tout ce qui pouvait s'en approcher de près ou de loin. Puis elle avait fini par comprendre ce qui s'était tramé dans les hautes sphères de l'agence et était venu alors la colère. Mais pas question d'acceptation contrairement à la suite du programme. Les fameux cinq stades qu'on était censés traverser face à la perte de quelque chose ou de quelqu'un, se résumait à deux pour elle. L'acceptation n'était même pas envisageable. Comment pourrait-elle accepter une chose pareille ? Alors qu'elle se reprochait déjà d'avoir perdu son équipe alors qu'elle n'aurait rien pu faire pour les sauver. Non, à tous les points de vue, elle ne pouvait se sentir soulagée que lorsqu'elle les auraient fait payer pour ce qu'ils lui avaient fait. La célèbre loi du Talion s'appliquerait encore une fois de plus... Oeil pour oeil, dent pour dent. Une attaque en appelait une autre...

Alors quand Moran était venu la voir il y a de ça quelques mois en lui proposant de venir travailler pour lui, elle n'avait pas vraiment réfléchit plus que ça à ce qu'elle allait lui répondre. Lexie voyait plus loin que le bout de son nez, elle avait donc sentit que son offre leur serait profitable à l'un comme à l'autre. Elle obtiendrait ce qu'elle voulait en l'aidant à en faire de même de son côté. C'était donc sans une once de regret qu'elle avait accepté de le rejoindre et de travailler pour lui. Il avait un passé qui parlait pour lui aussi, il fallait bien l'avouer. Elle avait sentit qu'elle n'avait pas affaire à n'importe qui. Et s'il y a bien une chose à laquelle notre chère Alexis était sensible c'était à l'intelligence des personnes. Et Sebastian semblait pouvoir rivaliser avec la sienne, ce qui la changeait de l'habituel lot d'idiots qu'elle côtoyait alors au Yard. Pas étonnant donc que Moriarty l'est choisit comme héritier spirituel. Un génie cet homme. Elle avait bien sûr entendu son nom à plusieurs reprises quand elle travaillait encore pour ses anciens patrons. Et elle avait admiré l'homme pour son intelligence, tout aussi malfaisante fut-ce-t-elle alors. Un esprit pareil restait remarquable même s'il était employé à faire le mal, enfin c'était son point de vue bien entendu. Elle s'était bien gardé de le partager avec ses collègues d'ailleurs, pour des raisons qui vous viendront à l'esprit j'en suis sûre. Tout ça pour dire qu'à bien y réfléchir, elle ne pouvait qu'apprécier sa place actuelle. Elle était enfin apprécié à sa juste valeur et elle n'avait plus de compte à tout le monde comme avant, juste à Sebastian mais elle s'en accommodait. Et contrairement à d'autres, elle n'avait pas peur de lui. Pourquoi aurait-elle eut peur de lui après tout ? Certes, il était à la tête du réseau criminel de Grande-Bretagne mais il n'en restait pas moins un homme non ? Mortel. Rien qui en soit donc ne puisse lui inspirer une telle peur. De toute manière, il n'était pas encore né celui qui allait lui dire comment mener sa barque et encore moins de se taire. Une franchise qui elle s'en doutait, devait être rare dans la position de Moran. Par conséquent également assez appréciée.

Une fois rentrée chez elle, elle ne mit pas longtemps à savoir qu'elle n'était pas seule. Comme dit, elle n'avait pas pu se défaire de certaines habitudes qu'elle avait eut durant tant d'années. Mais pas d'effraction, ça ne pouvait dire qu'une chose. Qu'une fois encore, il s'était introduit chez elle sans la prévenir, probablement à un double de ses clés qu'il avait fait faire il y a un moment. Il devait aussi probablement savoir quel était son emploi du temps à l'université, ce qu'elle concevait et dont elle ne s'offusquait pas. Il était le boss, il était donc normal qu'il sache où se trouvait ses agents et ce qu'ils faisaient. Puis il ne faisait que s'amuser -façon de parler- à s'introduire chez elle, pas dans sa vie, alors pourquoi devrait-elle en faire tout un plat ? Mais bon, même si sa présence était toujours la bienvenue dans son appartement, elle ne s'habituerait sans doute jamais à ce genre d'entrée un peu trop théâtrale à son goût. Mais elle se doutait bien que sa visite n'était pas anodine et de courtoisie. Elle n'eut d'ailleurs pas besoin de lui demander de lui dire la réelle raison de sa venue chez elle puisqu'il le fit de lui-même presque aussitôt. Elle prit place face à lui tout en l'écoutant parler, portant attention à ce qu'il lui disait et quand il termina sa phrase, elle émit un léger sourire tout en appuyant son coude sur le fauteuil, sa joue appuyée elle aussi contre sa main. « J'ose croire que tu me poses la question par pure rhétorique et non pas parce que tu doutes de la réponse que je pourrais te donner. » lui répondit-elle, haussant un sourcil tout en penchant une seconde la tête sur le côté pour ponctuer ses propos. Oui, elle n'allait pas se laisser accuser d'être capable de retourner sa veste pour satisfaire la soif de pouvoir d'une idiote en manque de reconnaissance.

« J'allais me faire un thé, je t'en proposes un aussi ? » dit-elle en se relevant. C'est vrai qu'elle avait prévu de se faire un thé en rentrant mais du coup, elle s'était retrouvée coupé dans son élan mais en hôte qui se respecte elle proposait à son invité -même s'il s'était invité lui-même chez elle- quelque chose à boire. Elle savait qu'elle n'avait pas à lui proposer quelque chose de plus corsé puisqu'il ne buvait plus. « Quant à cette Dillinger, tu n'as pas trente six options qui s'offrent à toi, je suis sûre que tu le sais déjà. » lança-t-elle alors qu'elle avançait doucement vers sa cuisine, l'invitant ainsi à la suivre. Non, il n'avait pas vraiment une foultitude d'options pour mater le vent de rébellion qui gonflait parmi ses rangs. Il devait y mettre un terme, tout bonnement, d'une façon ou d'une autre. C'est en tout cas ce qu'elle ferait à sa place. En montrant aux "newbies" qui était le vrai patron. « L'exemple est selon moi la meilleur façon d'illustrer ce qu'on veut faire comprendre à quelqu'un. Je ne veux pas dire que tu dois l'éliminer. Morte elle ne servira à rien et un autre ne tarderait pas à prendre sa place. En revanche, si tu lui coupes l'herbe sous le pied... » Elle ne termina pas sa phrase mais elle savait qu'il comprendrait sans mal où elle voulait en venir par là. Ils se comprenaient sans trop de mal en général puisqu'ils avaient en un sens, une façon de penser assez similaire, voir complémentaire. Comme quoi, comme on le disait souvent trop à la légère, les grands esprits se rencontraient bel et bien au final.
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