AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Charlie Callaghan
Charlie Callaghan

I'm on this case
Messages : 254
En service depuis le : 12/03/2013
Localisation : Londres.
Age du perso : 30 ans.
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie EmptyMar 12 Mar - 21:40


Charlie Callaghan.
ft Bryce Dallas Howard.



Présente toi :

Je m'appelle Charlie Callaghan, je suis née le 1er Avril 1983 à Londres. J'ai donc 30 ans. Dans la vie je suis PA d'un membre du parlement. Sinon je suis célibataire, vous y croyez ? Je fais partie du gouvernement car c'est ce qui me définit le mieux. On me dit souvent que je ressemble à Bryce Dallas Howard mais quand je me regarde je ne trouve aucun air de ressemblance...
Pseudo

Turlututu chapeau pointu ~


Somethings about me.


- Née Kendra Hepburn, lorsqu’elle sombra dans la prostitution, elle donna souvent à ses clients des noms très différents, toujours très symboliques. Faith, Elle, Satine, Misery, Delilah ou encore April n’en sont que quelques exemples parmi d’autres. Lorsqu’elle a changé de vie, elle a décidé de laisser son passé derrière elle et de changer également d’identité. Depuis, elle se fait appeler officiellement Charlie Callaghan. Charlie était le prénom de son père.

- Elle est particulièrement fière de sa longue chevelure rousse et déteste viscéralement qu’on lui touche les cheveux sans sa permission.

- Depuis qu’elle est aveugle, elle travaille à développer ses autres sens. Elle ne peut peut-être plus lire sur les lèvres comme elle le faisait avant, mais elle est très intuitive et perçoit le moindre changement de comportement face à une personne. Elle a également une meilleure ouïe qu’auparavant, et sens du toucher accru.

- Ce qui lui manque le plus ? Les films. Elle peut lire des livres en braille, mais le cinéma, elle a dû mal à s’en remettre, elle adorait regarder des films et s’échapper de son quotidien.

- Elle a un QI légèrement plus élevé que la moyenne mais n’ayant jamais fait d’études, elle n’a jamais eu l’occasion de s’en rendre compte.

- Elle déteste qu’on la prenne en pitié à cause de son handicap et peut se montrer très véhémente sur la question. Si vous êtes face à elle, ne jouez jamais au jeu du « évitons de parler de sa maladie », et allez-y franchement.

- Dotée d’un caractère très farouche qu’elle doit à la vie qu’elle a vécu, c’est une battante qui peut parfois sortir les griffes mais en dépit de son caractère de feu, elle se montre en général calme et posée, et si son côté solitaire et sauvage la rendent parfois un peu asociale, elle est le plus souvent de bonne composition.

- Son passé l'a rendue assez farouche vis à vis de la gente masculine et elle peut sembler assez agressive avec les hommes, voire franchement misandre, mais c'est plus une façade qu'autre chose : au fond elle a surtout très peur d'eux, n'ayant jamais été confrontée qu'à leur aspect le plus bestial. Il n'en reste pas moins qu'elle est très féministe.



Recenser son avatar :

Code:
[color=crimson]Bryce Dallas Howard ✖ Charlie Callaghan[/color]


Revenir en haut Aller en bas
Charlie Callaghan
Charlie Callaghan

I'm on this case
Messages : 254
En service depuis le : 12/03/2013
Localisation : Londres.
Age du perso : 30 ans.
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: Re: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie EmptyMar 12 Mar - 21:40

Tell me your story.


Ma vie commence comme celle des princesses dans les contes de fées. Sauf qu’il n’y a pas de happy end au bout.

Ma mère est morte quelques années après ma naissance. Je ne l’ai pas bien connue. Je me souviens des airs qu’elle me fredonnait en me bordant. Je me souviens de sa longue chevelure rousse, dont j’ai hérité. Mais c’est tout. Mon père et moi avons longuement pleuré sa mort. Et puis, il a rencontré quelqu’un d’autre. Deux ans plus tard, il se remariait. Je n’avais alors que 7 ans. Je n’aimais pas ma belle-mère. Je sais que c’est le lot de tous les enfants dont les parents sont séparés et qui les voient refaire leur vie avec une autre personne, mais ce n’était pas qu’un caprice de ma part. Ma belle-mère me détestait. J’ignorais alors pourquoi elle me vouait une telle haine, mais je crois aujourd’hui que j’en connais la raison : elle ne pouvait pas avoir d’enfants alors que cela avait toujours été son plus grand rêve. Et plutôt que de me considérer comme l’enfant qu’elle n’avait jamais eu, elle décida de voir en moi un cruel coup du destin, l’enfant de l’homme qu’elle aimait, mais qu’une autre qu’elle lui avait donné. J’étais le rappel permanent de son infertilité, et le continuel aiguiseur de sa jalousie en lui rappelant qu’il avait aimé une autre femme qu’elle. Plus mon père se montrait tendre et attentionné avec moi, plus elle était cruelle et injuste. Elle maintenait les apparences en public, mais dès qu’il n’y avait qu’elle et moi, elle laissait tomber le masque. Elle m’humiliait, me criait dessus, me forçait à gérer la maison à sa place, parfois même, me giflait, et disait que si j’en parlais à mon père, elle lui dirait combien j’étais une vilaine fille et qu’il m’abandonnerait. L’idée me terrifiait tellement que je ne songeais jamais à lui désobéir. Mais ce que je faisais n’était jamais assez bien. Quand je m’épuisais aux tâches ménagères, je n’avais pas le temps de faire mes devoirs et souvent mes notes chutaient alors que j’avais toujours été la meilleure de ma classe, ce qui m’apportait encore plus de remontrances. Quoique je fasse, je n’étais jamais gagnante. Le seul moment que je chérissais dans la journée était l’heure du repas, où mon père rentrait enfin du travail et me traitait comme sa petite princesse jusqu’à l’heure du coucher, qui arrivait toujours trop vite.

Mon père mourut alors que j’entrais dans l’adolescence, étouffant dans l’œuf le vent de rébellion qui m’avait peu à peu gagné en grandissant. Trop seule, trop triste, trop vide, je devins un automate, ne parlant jamais sinon pour répondre aux ordres qui m’étaient donnés. J’étais une brillante élève, mais je savais que cela ne me sauverait pas, car les écoles anglaises étaient chères et jamais ma belle-mère ne me donnerait un centime pour mes études. Mes journées n’étaient qu’une pâle copie les unes des autres, une répétition monocorde de gestes et d’actions vaines. Chaque fois que l’idée me traversait de ne pas obéir, j’étais accueillie par un sermon qui me rappelait combien je devais tout à ma belle-mère, que sans elle je ne serais rien, qu’elle avait été assez bonne pour me recueillir mais qu’elle pouvait encore changer d’avis à tout moment. Je pense qu’elle n’était pas heureuse non plus. La mort de mon père la rendit plus dure avec moi encore, mais je l’entendais parfois pleurer dans les heures les plus sombres de la nuit quand je ne parvenais pas à trouver le soleil. Parfois, elle faisait entrer des hommes chez elle, mais ils ne restaient jamais longtemps. Parfois, elle buvait un peu trop. Je ne disais rien.

Et puis, alors que j’atteignais ma majorité, un jour où elle avait bu plus que de raison, elle décida qu’il était temps pour moi de partir et m’annonça qu’elle me mettait à la porte. Sans argent, sans aide, sans rien. Je décidais cette fois de ne pas me laisser faire et lui tint tête. Les choses dégénérèrent rapidement. Elle a fini par pointer une arme vers moi en me demandant une dernière fois de partir. J’ignorais alors que l’arme était chargée à blanc, comment aurais-je pu savoir ? Je me suis jetée sur elle et nous avons longuement lutté. J’ai involontairement pressé son doigt qui était sur la détente alors que le canon de l’arme était pointé sur son front. Le coup est parti. Même chargée à blanc, à cette distance là, une balle est fatale.
Elle est morte sur le coup, un trou dans le front, le regard vide et une tâche de sang s’agrandissant, telle une auréole, autour de sa tête. J’ai crié, et je me suis éloignée d’elle. Je crois que je pleurais. Les heures suivantes restent floues dans ma tête. Choquée, terrifiée, je suis restée assise en pleurant dans mon coin jusqu’à ce que les larmes se tarissent d’elle-même. Alors qu’il n’était pas encore tard le soir au moment où la conversation avait dérapé, l’aube se levait à présent et j’avais pris une décision. Séchant mes larmes, je retirais mes vêtements tâchés de sang et préparais mes affaires – deux ou trois vêtements de rechange, tout l’argent que j’avais pu trouver dans la planque secrète de ma belle-mère (c’était hélas bien peu, mais je ne pouvais risquer de prendre sa carte de crédit, trop traçable), et après avoir effacé toute trace de moi sur l’arme ou dans la maison, je partis.

Je fis brûler mes vêtements ensanglantés quelque part non loin d’une déchèterie et repris ma route. Je ne savais pas où aller, je n’avais nulle-part où me rendre, et pas assez d’argent pour loger dans un hôtel malgré le froid hivernal. Je n’étais personne, rien qu’une adolescente de 18 ans en fugue, avec du sang sur les mains, qui priait pour que l’on ne remonte pas jusqu’à elle. Je marchais, sans but. La nuit était retombée lorsqu’une voiture s’arrêta à ma hauteur tandis que je longeais une route, et la vitre s’abaissa tandis que la voix d’un homme en émergea « C’est combien ? »

Je crois que je n’ai pas tout de suite compris ce qu’il se passait et j’ai dû rester un long moment, béate et muette, face à lui sans réagir. Et puis le déclic s’est fait quand j’ai rencontré mon reflet sur la carrosserie sombre de la voiture. Certes, mes vêtements n’étaient pas très affriolants, mais c’était l’hiver après tout, et personne ne s’attendait à ce que je sois en mini-jupe à des températures pareilles. En revanche, mes longs cheveux en bataille, mon mascara coulé, et mon sac sur le dos alors que j’errais le long d’une route au beau milieu de la nuit suggéraient un certain nombre de choses. J’avais conscience que je n’étais pas laide, et si j’ignorais encore que la route que je longeais était réputée pour être très fréquentée des prostituées, j’étais vouée à le découvrir très vite.

Mon sang n’a fait qu’un tour. Je n’avais pas de sou ni d’endroit où loger, j’avais froid, faim, j’étais seule et j’avais peur. J’ai penché ma tête en répondant d’une voix légèrement tremblante : « Tout dépend de ce qui vous intéresse ».

J’ai perdu ma virginité ce soir là, entre les gémissements rauques et les coups de reins bestiaux de ce qui serait mon premier client, dans la chambre puant la cigarette froide d’un hôtel miteux, sur un lit grinçant, fermant les yeux pour que le supplice s’achève au plus vite et priant pour qu’il ne demande rien de plus que mon corps. Je crois que ce soir là, mon âme s’est détachée de son enveloppe. Je me suis vue du dessus, tel un esprit flottant, je me suis regardée me faire souiller sans un mot, une larme silencieuse au coin de l’œil, comme si je ne ressentais rien, comme s’il ne s’agissait pas de moi, comme si ce corps m’était insignifiant. Je me souviens aujourd’hui encore de son visage. Je ne l’avais pas réalisé à l’époque, mais il avait presque été tendre avec moi. Au matin, il m’avait laissé deux billets dans la main et alors que je réalisais que j’avais de quoi survivre pendant une semaine, je pris une décision.

J’ai vécu plusieurs mois ainsi - presque un an, en vérité, mettant autant d’argent de côté que possible dans l’espoir de partir un jour et de recommencer à zéro, préférant souvent dormir à l’arrière de voitures abandonnées ou sur des bancs que de payer un hôtel. Personne ne vint me chercher. Mais alors que l’hiver approchait à nouveau, le froid se fit de plus en plus glaçant et il me fallut me résoudre à l’idée de me réfugier dans un hôtel. Le soir de mes 19 ans, je m’autorisais un hôtel plus cher que mes moyens ne me le permettaient habituellement, et c’est ainsi que je rencontrais William Keynes, le propriétaire, et ses filles, qu’il appelait affectueusement « danseuses ». J’en savais suffisamment sur le milieu pour ne pas me tromper sur la nature de son cabaret qui offrait bien plus que de simples spectacles.

Je m’étais présentée à lui sous une fausse identité, comme je le faisais toujours. Alexie Rosebury. Alexie. Ce nom allait me suivre plus longuement que les autres. Il m’a très vite proposé de rejoindre ses danseuses, et j’ai accepté. Les gens qui venaient ici étaient riches, et la couverture était parfaite. J’étais assurée de ne pas revivre des semaines entières dans la rue faute de clients, de ne pas tomber sur des types louches qui laisseraient d’autres traces que celle du sperme sur mon corps, incapable d’exercer pendant plusieurs jours faute de pouvoir marcher. Et puis William, à sa façon, semblait prendre soin de ses protégées.

Il sembla que très vite je devais être un cas à part. Du moment où je mis les pieds dans son hôtel, je n’eus plus jamais à vendre mon corps. Oui, je dansais, comme les autres. Je les hypnotisais. Mais qu’importait leur désir ou l’argent, ils ne me touchaient pas. William l’interdisait. Il me voulait pour lui, mais je me refusais à lui. Il était mon employeur, pas mon client. Je voulais avoir, pour une fois, une relation avec un homme qui ne serait pas basée sur le sexe. Je le respectais, immensément, même. Je lui aurais donné beaucoup. Je lui devais beaucoup. Mais je compris qu’il attendait plus de moi. Quelque chose que je ne pouvais pas lui donner de mon propre gré.

Je suis partie du jour au lendemain. Mon argent accumulé me permis de me créer une nouvelle identité. De nouveaux contacts. Un nouveau départ. Je me relevais rapidement, pleine de volonté et de rage de vivre, jusqu’à, par un coup de chance énorme, décrocher un boulot important en tant que PA d’un membre important du gouvernement.

Mais je vous ai dit qu’il n’y avait pas de happy end. Un jour, alors que je passais du côté du quartier de Soho après un dîner important qui s’était terminé plus tard que prévu, me forçant à marcher, un de mes anciens clients me reconnut. Il m’apostropha, tenta de me persuader de l’accompagner. Je refusais. Il haussa la voix, je refusais toujours. Il m’a frappé. J’ai tenté de me défendre, mais il m’a brusquement cogné la tête contre un mur, et j’ai perdu conscience.

Je me suis réveillée dans ce qui semblait être un lit d’hôpital. Impossible à dire, il faisait trop sombre. La voix d’un homme à mes côtés m’expliqua qu’il était médecin et qu’un passant avait été témoin de mon attaque et était intervenu aussitôt. Même si ma blessure semblait sérieuse, je n’avais rien de cassé, semblait-il. Une simple commotion. Semblait-il.
Je fronçais les sourcils et demandais faiblement à ce qu’il allume la lumière.

« Madame… la lumière est allumée… »

Plusieurs examens confirmèrent ce que j’avais déjà compris : j’étais aveugle. Ma cornée n’était pas abîmée, heureusement, ce qui signifiait par chance que ma vue pouvait revenir à tout moment, tout comme ne jamais revenir. Impossible à prédire.

Le choc passé, il me fallut réapprendre à vivre. Réadapter mon mode de vie. Compter mes pas, « voir » avec mes mains, marcher avec une canne, apprendre le braille. Le plus gros problème se posa avec mon travail. Personne ne pouvait avoir l’utilité d’une PA incapable de faire correctement ce qu’on lui demandait. Personne ne pouvait avoir l’utilité d’une femme aveugle. J'étais certaine qu'on me fermerait toutes les portes au nez. Il n’y avait réellement qu’un emploi où ne rien voir était un avantage, et je ne le connaissais que trop bien. Qu’importe à un homme que la prostituée qu’il paie pour son plaisir ne puisse le voir. Au contraire, quel meilleur moyen pour se désinhiber ? Qui pourrait complexer sur la taille de son sexe face à une femme incapable de le voir ? Je savais ce qu’il me restait à faire, mais je m’y refusais. J'étais prête à tout pour éviter d'être licenciée, pour ne pas retourner à la rue. Impossible que je tombe à nouveau là-dedans.

Mais ai-je vraiment le choix ?


Revenir en haut Aller en bas
Sherlock Holmes
Sherlock Holmes

I'm on this case
Messages : 2741
En service depuis le : 09/06/2012
Localisation : Quelque part où tu n'es pas.
Métier : Détective consultant.
Age du perso : Trente & un ans.
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: Re: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie EmptyMer 13 Mar - 0:33

C'est du rapide tout ça. You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie 2222602150
J'adore ce personnage en tout cas I love you !
Tu t'es auto-validée donc Rolling Eyes
J'te dis quand même re-re-Bienvenue !
Revenir en haut Aller en bas
http://lordperfectbaelish.tumblr.com/
Charlie Callaghan
Charlie Callaghan

I'm on this case
Messages : 254
En service depuis le : 12/03/2013
Localisation : Londres.
Age du perso : 30 ans.
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: Re: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie EmptyMer 13 Mar - 2:59

En apparence, parce qu'en vrai j'y ai passé du temps, sur cette fiche ! Contente si tu l'aimes, parce que j'ai pas mal changé mes habitudes pour ce perso à bien des égards !

& je veux, que je me suis auto-validée, j'suis co-fonda, je fais ce que je veux, non mais !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I'm on this case
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: Re: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie EmptyMer 13 Mar - 7:02

Bon ben rebienvenue, la flemme de lire ta fiche là mais je le lirais tout à l'heure^^
Revenir en haut Aller en bas
Charlie Callaghan
Charlie Callaghan

I'm on this case
Messages : 254
En service depuis le : 12/03/2013
Localisation : Londres.
Age du perso : 30 ans.
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: Re: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie EmptyMer 13 Mar - 12:54

Oui je comprends, j'ai un peu abusé sur la longueur ! Laughing Merci en tout cas !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


I'm on this case
I know you

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty
MessageSujet: Re: You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie   You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

You're just a sucker for the ones who use you ~ Charlie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» and you're the last one leaving ~ Charlie

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Me, myself & I :: Présente nous ton passeport :: Acceptés-