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 [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian

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MessageSujet: [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian   [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian EmptyLun 18 Juin - 15:09

❝ deux ans ça ne suffit pas ❞

Roksana & Sebastian ϟ Ou des retrouvailles explosives après deux ans de séparation, attention les dégâts © Loon



    -Nathan, fais attention ! La lumièrrre est trop basse ça ne va pas du tout avec la chorrrégrrraphie !

    Roksana finalisait la mise en scène du dernier numéro de la nouvelle revue. Il en fallait de la patience pour ce genre de chose. La jeune femme ne pouvait pas se dire qu’enfin, ça allait être fini… Hélas, ça aurait été trop simple. Toutes les transitions entre les numéros manquaient de rapidité et cela rendait le show lent et ennuyeux. Son regard de professionnelle ne s’y perdait pas. Elle se leva sur ses bottes à talon en cuir marron montant jusqu’aux genoux, et descendis les marches de la salle de spectacle pour se rendre sur scène, sa jupe bleue foncé légère arrivant niveau des genoux volant autour d’elle et dévoilant son collant noir. Il faisait chaud sous les projecteurs avec son pull col montant noir mais la pluie à l’extérieur ne se prêtait pas vraiment aux petites tenues légères. La chorégraphe s’approcha de l’endroit de la scène où elle voulait que tout soit éclairé pour mieux le désigner à son technicien.

    -Tu vois ? Ici !

    Pendant qu’il s’occupait des détails, elle se retourna vers les trois danseuses qui attendaient le verdict de la jeune femme.

    -Bon… il va falloirrr un peu plus de sérrrieux que ça les filles. On avait l’imprrression que vous étiez toutes endorrrmies.

    La chorégraphe regarda sa montre. De toute façon elle n’avait plus le temps de faire quoi que ce soit ou de reprendre. Elle avait rendez-vous avec son receleur à son garde meuble. Il venait récupérer un tableau que la jeune femme avait subtilisé la semaine précédente dans la maison de campagne d’un député. Une facilité enfantine et déconcertante.

    -Vous avez de la chance, je suis attendue. Alorrrs demain, je veux de l’exactitude, c’est clairrr ?

    Sans attendre, la russe fit volte-face, et se dirigea vers ses affaires. Récupérant sa veste en cuir, elle l’enfila, et saisit son sac dans une main, son écharpe dans l’autre.

    -Nathan, j’espère pour toi que demain ça sera parrrfait !

    Sous l’assurance du technicien son et lumière, elle sorti de la salle de spectacle, et alluma son téléphone qu’elle coupait systématiquement en répétition. Un sms de Duncan lui disant qu’il serait en retard, un autre de Greg qui finirait tard… histoire de changer. La jeune femme soupira en laissant tomber son téléphone dans son sac. Elle l’aimait, elle aimait cette vie calme et sûre qu’il lui faisait vivre. Mais des fois elle aurait aimé un peu plus d’action. Action qu’elle trouvait facilement lors de ses cambriolages. La russe passa à l’accueil et récupéra le mot laissé par le directeur de la salle, quelque chose de mièvre où il espérait que tout irait pour le mieux à la répétition… En somme quelque chose qui ne servait à rien. Elle le froissa et le glissa dans sa poche avant de sortir du théâtre. Avançant dans la rue, Roksana avisa un taxi qui approchait, et le héla d’un signe de la main. Il s’approcha et se gara à côté d’elle. La jeune femme posa sa main sur la poignée, l’abaissa, et y entra. Elle allait donner l’adresse quand elle se rendit compte qu’elle n’était pas seule. Par reflexe, elle allait ressortir quand le taxi démarra en trombe, et la jeune femme croisa le regard de l’homme assis à côté d’elle. Loin d’être un étranger… Elle aurait presque préféré. Deux ans… et ça n’avait pas suffi !

    -Qu’est-ce que tu me veux Sebastian ?! lança la russe avec un soupire agacé.

    Connaissant le jeune homme, il fallait s’attendre à tout, surtout au pire…
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MessageSujet: Re: [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian   [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian EmptyDim 24 Juin - 0:14



« Tu me trouves sadique ? Je parie qu'on pourrait faire frire un œuf sur ton front, si on le voulait. Écoute, ma grande, j'espère que, même maintenant, tu es bien consciente qu'il n'y a absolument rien de sadique dans mes actes. Avec les autres guignols, peut-être, je ne dis pas. Pas avec toi. Non, ma grande, là maintenant, tel que tu me vois, je n'ai jamais été plus masochiste. »



    Il envoya valser le verre en cristal d’un coup brusque, qui s’écrasa sans préalable et dans un bruit sec sur le mur en face. Les micros morceaux tranchants s’éparpillèrent un peu partout sur la moquette. Le geste avait été surprenant et impressionnant, mais ce n’était pas vraiment la principale raison de leur état stoïque et pourtant paniqué. Non, c’était parce que cet acte de violence était la démonstration de la colère, de la frustration de Sebastian. Et même si à présent c’était le verre qui venait de subir, tous ces gens autour de lui ne pouvaient que craindre que cela soit devienne leurs têtes qui s’écrasent violemment contre le mur en plâtre. Et cette fois-ci, ce serait beaucoup plus que des bouts de cristal qu’il y aurait à nettoyer. Le colonel Moran était en général un homme calme, pire même : placide. Cependant, depuis qu’il avait rencontré Jim Moriarty, il avait aussi fait connaissance avec la passion, et tout ce qu’elle entraine. Pour le meilleur et pour le pire, comme il avait l’habitude de décrire sa relation avec ce dernier. Et depuis qu’il, que son ami et amant, était mort, cette passion n’avait fait que s’accentuer, s’aggraver. Elle aurait pu s’éteindre en même temps que le criminel consultant, mais cela n’aurait été que mensonge. Il fallait croire qu’on ne ressort pas indemne de toutes ces années Moriatyesques.

    Il fusilla ses bons à rien de sbires qui partirent la tête basse, la queue entre les jambes et sans demander leur reste. L’héritier du job unique en son genre, et du côté des méchants, s’assit lourdement sur son fauteuil de luxe, en cuir et super confortable, et croisa les mains devant lui, les coudes appuyés sur le bureau en marbre, deux doigts sous le menton. Les choses avaient bien changé depuis qu’il avait repris la géante organisation internationale criminelle de Jim. Les galères n’étaient plus les mêmes, les avantages non plus, et il ne pratiquait pas du tout la même manière de faire. Ce dernier l’aurait tué, assassiné deux fois au lieu d’une pour cela. Mais il était mort, et il ne pouvait plus rien faire à présent. D’un certain côté, bien sûr que cela le désolait, mais de l’autre, il savait que cela n’aurait pu durer plus longtemps. Moriarty et Holmes, ils étaient un peu comme Voldemort et Harry Potter : l’un ne pouvait vivre tant que l’autre était encore en vie. Et Sebastian avait toujours préféré les méchants, malheureusement dans les bouquins, ce sont presque toujours les gentils qui gagnent à la fin. Presque naïvement, il avait espéré que cela ne soit pas vraiment le cas dans la vraie vie. Cela voulait peut-être dire qu’il allait mourir bientôt. Demain, dans un an, dans une décennie, dans 30 ans… Peu importait, enfin de compte. Il avait déjà cru mourir plusieurs fois, donc certaines en Afghanistan. Et pourtant, il était toujours là. Ici. À Londres. Conseiller du Premier Ministre et Criminel Consultant. Et l’un comme dans l’autre, il était un des hommes les plus importants du Royaume-Uni, voire du monde. Si Dieu avait pu prévoir cela.

    Il eut un sourire sarcastique à la pensée de tout ceci. En attendant, cela ne réglait pas ses problèmes, et ce n’était pas ses sujets ignares qui allaient l’aider. Parfois, il se demandait à quoi pouvait bien servir son réseau d’informations hypra développé et tous ces gens qui travaillent pour lui. Bien sûr, il y en a qui lui étaient particulièrement utiles, comme Gavriel Eisenhower par exemple, mais la plupart n’était que détritus. L’image même de la merde de chien qu’il n’aurait jamais sous sa semelle. En parlant de gens qui travaillent pour lui et qui étaient talentueux, son esprit dériva presque instantanément vers cette belle russe rousse qui l’avait quitté il y a deux ans. Dans tous les sens du terme. Il ne l’avait jamais perdu de vue, ayant le pressentiment qu’elle lui resservirait un jour, mais lui avait laissé vivre sa vie malgré tout. Surtout que Sebastian avait bien ri en voyant sa reconversion. Elle était à elle-même le film Kill Bill de Tarantino. L’assassin professionnel qui essaye d’avoir une vie de bonne citoyenne en se mariant à un pauvre type et tombant enceinte de ce dernier. Qui se rebelle après et essaye de tuer l’amour de sa vie. Vous l’aurez compris, Roksana représentait Black Mamba – certes elle n’était pas Uma Thurman, mais elle n’en restait pas moins sexy –, Gregory Lestrade – et oui Sebastian était au courant de tout – ce pauvre type qui se fait mettre hors jeu rapidement, et le colonel Moran en chair et en os… Bill. Il était flatté par rapport au fait qu’il pourrait y avoir un film à son nom. Cependant, il ne comptait pas mourir d’une mort aussi peu digne. Bon. Il lui avait quelques années de répits, selon la suite du film, la prochaine étape était qu’il revienne d’une manière théâtrale dan sa vie. Il attrapa agilement son téléphone portable de sa main droite, et avec un sourire malicieux suspendu aux lèvres composa rapidement un numéro.

    Il attendait patiemment, tapotant de ses doigts longs et fins sur la carrosserie intérieure du véhicule, zieutant attentivement les rues sombres de Londres. Le taxi était à l’arrêt, et Sebastian avait choisi avec soin le chauffeur qui allait les mener, de sorte qu’il suive à la lettre ses instructions, et qu’il ne l’interrompe pas une seule fois. De toute manière, c’était dans son intérêt de ne pas faire autrement. Deux ans qu’il ne l’avait pas vue, déjà. Et leur relation avait toujours été explosive. Cependant, il ne sentait absolument aucune appréhension. Comme si c’était la chose la plus normale au monde. Après tout, ce n’était pas comme s’il était aujourd’hui dans l’ignorance. Il savait exactement ce qu’elle devenait, et il ne s’était pas privé d’aller la voir à plusieurs de ses représentations. Il avait toujours aimé ses spectacles. Une légère bruine typiquement londonienne se mit à tomber, un décalage énorme avec l’Afghanistan auquel Sebastian avait encore parfois du mal à s’adapter. Et c’est environ cinq minutes plus tard que Roksana s’était décidée à quitter le théâtre. Il sourit. Il connaissait ses horaires par cœur. Faisant un signe quasiment imperceptible du de l’index au chauffeur, mais qui le comprit tout de même, la voiture s’avança vers la russe qui le héla, avant de s’y affaisser en hâte mais non avec son habituelle élégance. Remarquant presque immédiatement que le taxi était déjà occupé, elle voulut sortir, seulement l’homme de main était bon, et avait déjà démarré. « Qu'est-ce que tu me veux Sebastian ?! » Il explosa en un grand sourire à la réaction de la belle assise en face de lui. Même si elle était sur la défensive, et sur l'attaque parce que c'était son aisance même, au moins elle ne lui avait pas envoyé son point dans la gueule. Du moins… pas encore. Il se permit une pose décontractée sur la banquette en cuir noir. Il n'avait pas choisi le plus pourri des taxis. « Roksana… Roksana. Tu as toujours été très explosive. Moi aussi je suis content de te revoir. Et je vais bien, merci de ne pas avoir demandé. » Il lui adressa un sourire. Un de ceux qu'il savait qui l'insupportait, et en même temps qui la faisait littéralement craqué. Il se pencha en avant sur son siège, et tapa sur la vitre qui les séparait du chauffeur, comme pour lui indiquer quelque chose que seuls eux deux pouvaient comprendre. Puis il s'adossa de nouveau, portant son attention sur sa princesse en otage. « Comment va ce cher Gregory ? Je me demandais s'il appréciait ton accent à sa juste valeur. » Aaah... Son accent. C'était ce qui avait tout de suite fait fondre Sebastian. Il était un homme sensible au charme des femmes, déjà en général. Mais lui qui était très porté sur l'accent britannique, et encore plus londonien, les Européennes le faisaient littéralement craquer. Chaque hommes à son point faible, je vous dirais.
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MessageSujet: Re: [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian   [Abandonné] Deux ans ça ne suffit pas - Sebastian EmptyMar 26 Juin - 10:22

Sebastian Moran… Roksana poussa un soupir agacé en le reconnaissant. Cela la renvoyait à deux années en arrière, et des souvenirs qu’elle essayait de se convaincre qu’elle aurait préféré oublier. Elle lui jeta un coup d’œil en coin alors que tous ces souvenirs remontaient en elle. Deux ans et demi plus tôt environ, elle était arrivée en Angleterre, officiellement pour monter une revue, mais en vérité pour se mettre à travailler pour l’organisation que le jeune homme sous dirigeait. Tout avait été si simple et en même temps si compliqué. Rencontrant Sebastian, ils s’étaient tout de suite plus. Ce n’était pas de l’amour, non, mais du désir à l’état pur, qu’ils avaient usé jusqu’à la corde et pourtant il avait semblé intarissable. Ils étaient sur la même longueur d’onde, une relation passionnelle, fusionnelle… Mais aussi extrêmement explosive. Leurs disputes étaient aussi violentes que leurs étreintes étaient passionnées. La jeune femme frémissait à ses souvenirs, moitié de dégoût, moitié de nostalgie. Sebastian avait révélé ce qu’il y avait de pire en elle à cette époque, et il était hors de question que cela recommence. Tout simplement parce que, quand il le voulait, Sebastian pouvait être très effrayant… Tellement effrayant que Roksana avait finit par partir en claquant la porte.

Parce que le jeune homme avait un énorme défaut. Il était possessif. Pas possessif comme la plupart des hommes, mais possessif étouffant. On aurait dit un enfant avec un jouet. Et Roskana avait horreur d’être prise pour un jouet. Tout simplement parce qu’elle n’en était pas un et qu’elle ne pouvait pas brider éternellement son caractère indépendant. Alors, en prenant son courage à deux mains, elle avait non seulement quitté Sebastian, mais aussi quitté l’organisation, pour se remettre à travailler à son compte. Et parfois, il lui était même arrivé de se demander pourquoi et comment elle était encore en vie. On le lui avait dit, on ne quitte pas l’organisation comme ça. C’était trop beau. Au fond d’elle-même elle savait qu’un jour ou l’autre, ils reviendraient la chercher, mais plus le temps passait, plus elle se prenait à espérer être enfin en paix. Mais non… C’était trop beau. Deux années de paix c’était tout ce qu’on lui avait accordé. Et vu la facilité avec laquelle la jeune femme s’était retrouvée assise en face de Sebastian dans le taxi, il était évident qu’il ne l’avait jamais perdue de vue. Elle pouvait donc s’attendre au pire.

Croisant les bras, elle plissa les yeux et observa le criminel consultant. Il n’avait pas beaucoup changé en deux ans. Il était toujours aussi séduisant, certes, mais forte de leur précédente expérience, Roksana ne le voyait plus sous le même angle. Et il était hors de question qu’elle s’avilisse à nouveau pour le bon plaisir de Moran. Elle avait changé, et lui aussi sans doute. Aussi préféra-t-elle en venir au fait immédiatement. Ce qui provoqua un immense sourire de la part de Sebastian. Roksana ne put que se rembrunir, et lui lança un regard noir. Il ne l’aurait pas à ce petit jeu. Du moins l’espérait-elle…

-Roksana… Roksana. Tu as toujours été très explosive. Moi aussi je suis content de te revoir. Et je vais bien, merci de ne pas avoir demandé.

Toujours le même, au fond. Toujours aussi sûr de lui. Ca en devenait presque agaçant, mais ça faisait son charme… La jeune femme ne put pourtant s’empêcher de marmonner entre ses dents :

-говнюк ! *

Elle avait juste l’impression qu’elle allait l’étrangler avec son petit sourire insupportable, mais il fallait bien se rendre à l’évidence, c’était impossible. Elle le connaissait assez pour savoir qu’il ne la laisserait pas faire, et même, dans l’hypothèse où elle y arrivait, le chauffeur était surement armé et l’empêcherait de faire du mal à son petit chef adoré.

-Comment va ce cher Gregory ? Je me demandais s'il appréciait ton accent à sa juste valeur.

Roksana tiqua. Au fond, ça n’aurait pas dut la surprendre. Sebastian était ce qu’il était, et il savait tout. Mais qu’il touche à un seul cheveu de Greg et il verrait qu’aucun dispositif de sécurité n’empêcherait la russe de s’approcher de lui assez prêt pour le lui faire payer !

-Il l’apprrrécie toujourrrs plus que toi, figurrre-toi…

La voiture ralentit à un feu, et Roksana en profita pour tester discrètement l’ouverture de la porte. Comme elle s’y attendait, celle-ci était verrouillée. Ca aurait été trop facile sinon. La jeune femme décida qu’elle en avait assez de ce petit jeu, il était temps de se rebeller un peu. La poupée de porcelaine n’était en fin de compte pas si fragile.

-J’ai apprrris pour Morrriarrrty… Ca m’a désolée pourrr toi… persifla-t-elle, avec un léger sourire provocateur.

Elle jouait avec le feu, elle le savait, mais s’il avait prit la peine de venir la chercher jusqu’ici, c’est qu’il avait une bonne raison. C’était une certaine assurance vie.

*Connard!
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